(❄) heart skips a beat.

so hung up, we can't let go. if you really have to leave, one more time just move me slow — dailycoltonhaynes@tumblr.

nom complet Rosen représente le seul héritage laissé par son père. Il aurait pu sans nul doute emprunter le nom de sa mère, mais cette formalité n'aurait pas davantage symbolisé qu'une signature, ni même effacé le passé. Rosen, c'est la moitié de son identité, de son histoire, de ses origines. Son essence est imprimée des lettres de Rosen. Patronyme complété par Cato Flynn, le jeune homme ignore leur sens, les motivations qui ont guidé ce choix. Pointés du doigt dans une liste, évidence, tradition, Cato s'en moque. Il n'en fera de toute façon pas un sujet de conversation. □ âge Cato, il a fêté ses vingt-sept ans cette année. Il n'a pas soufflé de bougie, mais c'était comme si. Le problème avec Cato, c'est que son âge, c'est seulement la décoration du gâteau. Insouciant et téméraire, il en a souvent dix dans la tête. Et quand il éclot, Cato, quand il se décide à devenir un homme, un roc, il en a bien plus, et des rides sur le front, l'air d'avoir trop vécu. □ date et lieu de naissance Il est né un treize avril, paraît-il. Lui, il se sent plus de décembre, janvier ou mars. Un mois froid, des flocons de neige délicats, et le manteau blanc qui recouvre les routes, les rues, les coeurs. Il a vu le jour à Nogales, aux portes du Mexique. Entre deux cultures, deux horizons. Comme l'a voulu son éducation. Il a traversé les États avec ses parents, de l'Arizona à New York, et sera éternellement attaché à Staten Island, parce que c'est là, à cet endroit précis, qu'il l'a rencontrée. □ nationalité Neveu de l'Oncle Sam, le jeune yankee n'a jamais quitté le territoire. Il en a fait le tour, des bayous de Louisiane aux plages de Malibu, mais ça lui suffisait. L'air du large, de l'ailleurs, n'a jamais perturbé ses projets. □ origines Les Rosen ne parlent jamais de leurs ancêtres. Ils ne pleurent jamais l'histoire. Peut-être en ont-il perdu à la guerre, d'une maladie, de faim, de froid. Ils n'évoquent jamais la mort. Ils pensent seulement avoir du sang québécois quelque part dans leurs veines, parce que le dessin du drapeau, là-bas, ressemble à un fleur. Ce n'est pas une rose, mais ça leur suffit à eux, ils ne se posent plus de questions. □ statut matrimonial Cato, c'est l'amoureux malmené, l'amoureux évincé, celui à qui elle a dit les mots de l'amour, et qui est arrivé trop tard, qui a fait de son coeur un véritable champ de bataille. Aujourd'hui, Cato, il essaie de revenir, de la rassurer, de lui dire que le temps se rattrape, et elle s'éloigne, lui file entre les doigts. Cato, il a trouvé à consoler son chagrin dans le lit des autres, toutes aussi belles, toutes aussi femmes, ne communiquant avec elles que pour s'avouer célibataire. métier/études Il n'a pas fait d'études, Cato. Les bancs de l'école, ce n'était pas pour lui. Au lieu de ça, il a ouvert sa boutique au Spring Mall. Vendeur de cartes postales, ça lui correspond plutôt bien. Les touristes s'y précipitent. Tu pourrais leur vendre une carte de la Tour Eiffel qu'ils demanderaient où elle se trouve. Même les Parisiens. L'Amérique, c'est leur Graal. Dans leur tête, on avait tout quand eux n'avait rien. □ statut monétaire Cato ne roulait pas sur l'or quand il était avec sa mère. Ils comptaient les centimes, ignoraient les appels de la banque, profitaient de leur plafond de découvert et des crédits. Et cette routine s'est rompue, ces comptes à sec se sont renfloués avec l'arrivée des Bass dans la famille, si bien que maintenant, ils se comptent parmi les riches menant une vie rangée. □ groupe Beavers.

♡ Cato n'aime pas les mots. Peut-être bien que ce sont les mots qui n'aiment pas Cato. Il a bien essayé de les écrire, des lettres à Lydia. Mais Cato, ce n'est pas un artiste. Il n'écrit pas de poésie. Il n'a lu qu'un roman en vingt-sept ans. Alice au Pays des Merveilles. Autant dire qu'il ne s'en vante pas. Il ne lit que de stupides articles de magazines. Même pas la presse. Lire, c'est encore trop fort. Il feuillette, il regarde, toujours de loin, jamais de près. Il a les yeux d'un spectateur, d'un témoin maladroit. Et si c'était cela, son mot, voyant. De celui qui attire. Il éblouit, repousse fort l'ombre pour la lumière. Parce que Cato, il ne veut pas qu'on ait pitié. Cato, il veut qu'on le voit - qu'on voit son corps, sa silhouette, cette apparence qu'il façonne et modèle, cette enveloppe charnelle. Il n'offre jamais les contours de son âme à la vue des autres. Ils s'égareraient parmi les vaisseaux d'un coeur écorché, abîmé, souffrant d'un passé obscur et impossible. Ils se perdraient à n'en plus revoir le rivage, vagabonds éternels dans un sang de nuages. Cato ne rejette pas les mots. C'est la fuite d'une enfance sans magie ni mystères. De sa condition d'enfant-grand un peu trop rude, trop sévère.
♡ Cato, il ne veut pas grand chose. Il n'espère même rien, parce que l'espérance, à ses yeux, détruit toute chance d'être véritablement heureux. Il ne vivrait jamais, trop insatisfait. Cato, il aime se réjouir des petits plaisirs, aussi des grands, et des moments uniques, de ceux qu'on revivrait à chaque instant. Mais si une fée apparaissait, Cato, il lui demanderait qu'elle le regarde, et qu'elle se regarde elle comme il la voit. Il voudrait revoir son père, au moins une fois, lui demander 'Pourquoi, papa ?'. Cato, il a des rêves secrets, des rêves enfouis, qu'il tait et garde pour lui. Participer à une course de voiles, jouer dans une compagnie théâtrale, sauver la vie d'un enfant malade, lui décrocher une étoile, et la Lune, et le soleil, passer une journée seul avec sa mère, rencontrer Dean, et Presley, réaliser un film, et le présenter à la cérémonie des Oscars. Elle en serait l'héroïne, mais non, pitié, pas d'histoire qui vire au tragique.
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♡ Il n'a qu'un vieux portable, Cato. Il tient davantage à son porte-feuille, parce que, dans son porte-feuille, il met son argent, et d'autres effets aussi. Au final, ses billets, et ses pièces de monnaie ne prennent pas beaucoup de place. Cato, il collectionne les cartes. Les cartes de fidélité, et les cartes cadeaux. C'est tout ce qu'il a toujours eu à Noël, des cartes cadeaux. Il se rend toujours dans les mêmes magasins. Pourquoi changer pour d'autres où il ne trouvera rien ? Cato, on le connait, où qu'il l'aille. On lui griffonne des réductions sur un bout de papier qu'il range dans son porte-feuille. Dedans, il a aussi une photo. Il l'avait trouvée sur un trottoir, tombée d'un sac, d'une poche, d'une main. C'est une petite fille, jolie et authentique, qui sourit face à l'objectif. Cato ne désespère pas. Il sait qu'un jour, elle retournera dans le porte-feuille de son propriétaire, d'un père ou d'une mère, d'un petit amoureux. Cato aime se raconter la vie de cette petite fille, quand il s'ennuie. Il l'imagine sur une balançoire, à courir dans un parc, et il se dit qu'il aimerait bien, plus tard, avoir un enfant lui aussi. Est-ce que je serais un bon père ? Est-ce qu'il saura que je l'aime ? Et puis Cato, dans son porte-feuille, il a des papiers, des souvenirs. L'emballage d'une sucrerie, la serviette d'un café, l'étiquette d'un vêtement qui lui rappelle un bel instant. Il se dit que le jour où il perdra la mémoire, il suffira de lui tendre son porte-feuille, et il la retrouvera, à l'encre imprimée, à l'odeur, aux traces du passé. Il est certain, Cato, qu'il pourra la retrouver.
____________________Tics, manies, habitudes. + Tics, manies, habitudes. + Tics, manies, habitudes. +

célébrité Colton Haynes. □ un dernier mot Ramon ta fraise. (❄) heart skips a beat. 312024731

Sa filmographie.
01.
02.
03.
04.
05.
____________________Cato découvre le secret gardé par ses parents.

____________________Elle lui tournait le dos, coupant des pommes de terre sur le plan de travail. Les yeux rouges des larmes, la vue brouillée des sanglots mal étouffés, elle manqua deux ou trois l'un de ses doigts. Cato observait la scène, sur le seuil de la cuisine. « Ça a l'air bon, maman. » Sa mère esquissa un sourire à cette voix fluette, le ton calme de son garçonnet. Le seul, désormais, à qui elle se raccrochait. « Tu ne m'en veux pas de te laisser seul, ce soir ? » Encore. Cato se hissa sur la pointe des pieds pour lui déposer un baiser sur sa joue. Il savait où elle allait, ce qu'elle y ferait, à quelle heure elle reviendrait. Il savait qu'à minuit moins le quart, de sa chambre, il entendrait ses pleurs, et ses cris, et ses prières. C'était autre chose, la douleur qu'elle s'infligeait. Pire que celle dont l'accablait son père. Elle versa les légumes dans la casserole, programma le minuteur et s'alluma une cigarette. Une autre. Elle ne fumait jamais, avant. Cato tentait de la distraire, de reporter son attention sur d'autres affaires. Il lui tendit son bulletin scolaire. « Je sais que ce n'est pas très bon, mais le professeur de dessin m'a félicité. Il m'a demandé de lui en faire un, regarde. » Et elle fixa le dessin de son fils, un modèle de voiture unique. Cato, c'était quelque chose qui le passionnait à l'époque. Il voulait conceptualiser des automobiles, de celles qui étaient confortables, et qui plaisaient à voir. Il rêvait d'offrir la première à sa mère qui n'avait, pour l'heure, qu'un vieux van qui tombait régulièrement en panne. Elle planta sa Marlboro dans le cendrier. « Tu es comme ton grand-père. » Décédé un mois avant sa naissance, Cato ne l'avais jamais connu. Il apprenait à le voir par les nombreuses descriptions qu'en faisait sa mère - élogieuses, admiratives. C'était bon de la voir rire en se remémorant d'agréables souvenirs. Cato profita de ce moment de complicité pour se blottir contre elle, et lui promettre que jamais, non, pas un instant, il ne la quitterait. Ils avaient besoin de la présence de l'autre dans leur vie. « On surmontera le départ de papa. » Parce que Cato, il le voyait comme le plus beau des cadeaux. Son père avait libéré sa mère de son emprise, de sa violence, de ses colères. Pour la première fois, il lui avait dit qu'il l'aimait. Et Cato savait que sa mère serait heureuse, maintenant. Elle le devait.

____________________Meet me to the Darcy's at nine. Love u, xx. Posé sur la table de chevet, l'écran de son téléphone portable s'alluma. Cato jeta un regard furtif sur le message qui s'affichait et échappa un soupir en se cachant sous ses couvertures. Pourquoi diable Leah s'accrochait-elle à lui ? Il ne se rendrait pas au rendez-vous, par respect pour son meilleur ami, Trent. Le temps, entre eux, s'avérait déjà bien orageux. Fort de sa résolution d'ignorer les textos de Leah, Cato essaya vainement de retrouver le sommeil. « Putain. » De nature spontanée, Cato jurait souvent. Beaucoup. Ce n'était pas Leah, ce matin-là, qui l'agaçait. Mais ce rêve - indéniablement agréable - dont les images surgissaient toujours dans sa tête. Ce rêve qui l'avait alors mis en lumière, lui, aux côtés de sa demi-soeur, Lydia. Sa mère s'était amusée à lui répéter, quand il n'était encore qu'un enfant, qu'on rêvait d'une vérité. Déformée plus ou moins. Du moins rêvait-on de désirs inconscients, de souhaits impossibles, d'un bonheur logé au fond de l'âme. Cato ne croyait pas aimer Lydia. Lydia elle-même ne l'aimait pas. Il n'y avait entre eux rien qui put ressembler à de l'amour. Ni attirance, ni alchimie. Ni étincelles, ni aucun signe. Ils ne pouvaient pas. Malgré ces négations, Cato devait se rendre à l'évidence : il songeait à Lydia déjà en niant l'essentiel. Lydia occupait son esprit, ses pensées. Ne serait-ce que pour l'embêter, jouer au rôle du frère taquin, de l'aîné farceur. Il ne s'écoulait pas une journée sans qu'il ne pense à plaisanter, qu'il ne l'entende rire ou pleurer, qu'il ne l'écoute parler. Depuis le mariage de leurs parents, Lydia se trouvait à chaque instant de sa vie. On l'associait à elle, à l'école. Ils partageaient les repas, et les jeux en famille. Ils s'occupaient des tâches ensemble, lorsqu'on le leur demandait. Généralement, elle était la première personne qu'il voyait au réveil, et la dernière personne à qui il souhaitait une bonne nuit. Elle était présente. We need to talk, Cato. U're the one now. Comme un brusque retour au réel, Leah insistait. Leah le voulait. Quand comprendra-t-elle qu'elle n'obtiendra rien, si ce n'est son mépris éternel ? Cato ne répondit pas, et d'autres textos suivirent. Des supplications, points d'interrogations, d'exclamations, de suspension. Et des visages tristes, des o dubitatifs. Jusqu'aux insultes, jurons, vulgarités. Cato étouffa un rire avant de se lever. Il ouvrit la porte à la seconde où Lydia ouvrait la sienne. Merde. « Je prends la salle de bain. » Il arqua un sourcil, s'apprêtant à répliquer, mais les mots restèrent en suspens dans sa gorge. Demain, tout redeviendra normal. Il répétait ce refrain avec assurance, calme et certitude, telle une incantation qui brisait un sortilège.

Sa playlist.
01.
02.
03.
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05.
____________________Cato aperçoit une île, au large. Sur la plage, il découvre un message.

*fait pipi partout pour marquer son territoire*
C'est mon mien, on touche je mords (❄) heart skips a beat. 4058844158

T'es trop canon jotem (❄) heart skips a beat. 2706441538

Et je plaide non coupable, on ne peut pas me résister c'est tout (❄) heart skips a beat. 312024731

Spoiler:

Un DC avec Colton il n'y a pas de quoi se plaindre Ce mec est tellement sexy

Bon courage pour ta fiche

Le cousin par alliance quoi Laughing

Il va nous falloir un lien (❄) heart skips a beat. 2014417941

Et Colton

(Re)bienvenue chez toi (❄) heart skips a beat. 1644040817

lydia, tu veux vraiment rivaliser avec ça?
Spoiler:

(re)bienvenue, colton te va tellement bien.

Lydiamour : Regarde comme on est beau. (❄) heart skips a beat. 2854805733

Spoiler:

Kennigloo : Toi et moi, on aura un lien. Je ne sais pas lequel, mais j'en exige un. C'est inévitable. C'est inscrit dans les lignes du destin. (❄) heart skips a beat. 312024731

Bashington : Cousin par alliance ? Je crains d'avoir manqué un épisode, moi. (❄) heart skips a beat. 2326925472

Viens m'expliquer tout cela en privé qu'on en profite pour se concocter un lien. (❄) heart skips a beat. 2627469654

Marnibelle : Ils sont mignons tout plein. Ce gif mérite bien un lien. (❄) heart skips a beat. 667360382

Je meurs devant la perfection des gifs (❄) heart skips a beat. 3587747087

déjà un dc ? hm, la vilaine.
(re) bienvenue.

Cato Rosen a écrit:: Marnibelle : Ils sont mignons tout plein. Ce gif mérite bien un lien.

t'avais pas le choix t'façon.

Le titre, le pseudo et of course BB Colton, tu as tout bon encore une fois.
Rebienvenue parmi nous et je veux un lien avec lui.

COLTON, LE CHOIX DE MALADE.
(Re)bienvenue chez toi.

Lydiamour : Et j'en ai enregistré d'autres dans un fichier classé confidentiel. (❄) heart skips a beat. 312024731

Riananas : Je sais. C'est la nouvelle moi qui s'exprime, tu comprends. J'échappe à toute raison. (❄) heart skips a beat. 3810993611

(Libérée, délivrée. (❄) heart skips a beat. 2627469654

)
Marnibelle : (❄) heart skips a beat. 3883600410

C'est bien parce que c'est toi.
Camignonne : Que c'est gentil. (❄) heart skips a beat. 3587747087

Je t'en garde un, c'est promis. I love you

Agnéclair : Merci. (❄) heart skips a beat. 2854805733

» ✲ heart of a girl
» just set my heart on fire, like gasoline. (délai 30/12)
» an act of true love will thaw a frozen heart

(❄) heart skips a beat.

(❄) heart skips a beat.

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