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Marnie Delhow.
Marnie Delhow

Pseudo : coraa.
Célébrité : holland roden.
Crédits : ecstatic ruby.
Messages : 163
Âge : twenty-six.
Statut : broken by the blood barrier.
Métier/études : faded florist.


◆ Busy lives
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MessageSujet: counting stars.   counting stars. EmptyVen 19 Déc - 13:09



everything that kills me makes me feel alive.
hiyq@tumblr.

nom complet marnie delhow. □ âge vingt-six ans. □ date et lieu de naissance premier juin, staten island, new york. □ nationalité américaine. □ origines françaises et anglaises. □ statut matrimonial célibataire. métier/études fleuriste. □ statut monétaire modeste, voir aisé si les parents s'en mêlent. □ groupe the rabbits.

bouquet. non pas que sa profession lui monte à la tête, mais ce mot a toujours réveillé en elle des saveurs, sensations. un bouquet rassemble, embelli, émerveille. une multitude de fruits sensoriels qui apaisent, ravivent une flamme éteinte. pour elle, un bouquet est synonyme d'humanité. un bouquet, c'est comme une blanche colombe, bien mieux qu'un dîner aux chandelles.
♡ elle souhaite cet homme qui fait parti de sa famille. retrouver cette amie que le temps lui a fait perdre. un nouveau sommier, il ne fait pas bon de dormir sur un matelas à même le sol. que sa soeur cesse de l'appeler manie et non pas marnie.
le gris. étrange pour une peur, mais cette couleur a toujours réveillé en elle des frissons d'effroi. le gris, c'est terne. annonciateur funèbre, dénué de tout sentiment. le gris, c'est la couleur que prennent les fleurs lorsqu'elles se fanent. et une fleur qui meurt, c'est un couteau dans son coeur.
l'absence de soleil. que ce dernier ne se lève jamais plus et qu'il aille dieu sait où. c'est pourquoi l'hiver est une torture à surmonter. la pluie, le gris, le noir, la totale. toutes ses nuits sont tourmentées de cauchemars où la boule de feu disparait. scénarios apocalyptiques digne de spielberg.
♡ un répertoire bien fourni, bien qu'elle n'en utilise pas même le quart. le dossier images saturé, d'ailleurs il faut qu'elle fasse le tri. comme chaque jour depuis de nombreux mois. ses applications favorites telles que snapchat (addictif), nuits sans folies (jouissif), et bien d'autres encore. un jeu notamment, dont elle ne peut se passer, hay day. puis quatre-vingt quatorze degrés ne la laisse pas indifférente, même si pour ce jeu là clairement, elle est mauvaise.


pseudo coralie. □ âge vingt-deux ans. □ pays france. □ avis sur le forum magnifique.  I love you  □ célébrité holland roden. □ un dernier mot I love you I love you .


Dernière édition par Marnie Delhow le Sam 20 Déc - 22:34, édité 10 fois
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Marnie Delhow.
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◆ Busy lives
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MessageSujet: Re: counting stars.   counting stars. EmptyVen 19 Déc - 13:09

There's nothing that I'd take back, but it's hard to say there's nothing I regret. Cause when I sing, you shout, I breathe out loud, you bleed, we crawl like animals, but when it's over, I'm still awake. A thousand silhouettes dancing on my chest, no matter where I sleep, you are haunting me
une respiration. qui s'accélère, s'emballe, se perd. tes joues rosissent sous l'excitation, tes lèvres s'assèchent. tu plisses ta robe pour la énième fois en quelques minutes, ranges des mèches rebelles. ton regard brun se pose sur la moindre parcelle, pétale, couleur. tout doit être parfait. c'est l'inauguration de la boutique, ta boutique. celle que tu as façonné de tes mains d'enfant, que tu as imaginé avec lumière. celle pour laquelle tu t'es battue, et qui aujourd'hui embaume ton coeur de ses saveurs. j'me souviens encore de l'époque où t'avais des couettes. à la fifi brindacier. un sourire étire tes lèvres pincées. prendre la peine de te retourner est inutile, tu n'as aucun doute sur l'identité du farceur. la référence me laisse sans voix, tu connais tes classiques. ou probablement la seule personne au monde que tu es heureuse de voir, là, maintenant, tout de suite. la seule qui est capable de t'apaiser, de chasser tes démons. ta sœur sera là à ce qu'il paraît? t'as des tendances suicidaires. fort possible. mais malgré tes réticences face à ton aînée, tu ne voyais pas le baptême de ta nouvelle vie sans elle. en fait, tu crains  plus le sermon parental. qu'elle soit là ou non ne changera rien à ta vie, si ce n'est que la bouteille de whisky malt risque d'y passer. rien de plus. et elle amène son jules? ou peut-être est-ce le tien, j'suis perdu, vous vous prêtez tellement vos affaires. tu piques un fard, vires au rouge écrevisse. ton poing s'abat misérablement sur son épaule en guise de protestation. lui qui sait toujours appuyer là où ça fait mal. sois pas jaloux. revirement de situation que tu essaies de prendre avec légèreté, mais ta bonne humeur s'assombrit. tu sais pourquoi tu as invité ton aînée, la véritable raison. et ce n'est sûrement pas le plaisir de la revoir. ni la crainte que tes parents te houspillent car tu fais des histoires. mais bel et bien lui. lui? le fiancé de ta douce et tendre sœur. tu t'affaires à autre chose, n'importe quoi, mais tu glisses entre tes mains une quelconque distraction. mais les souvenirs affluent, douloureux, difficiles. tu revois encore ce premier dîner, où l'annonce des fiançailles de ta sœur avec xavi a été officiellement faite. où ton regard a croisé pour la première fois le sien. où ton coeur a manqué un battement, ou peut-être était-ce plusieurs. qu'importe. cet instant où ta vie a basculé du fantasme au désespoir. cet instant où, depuis, tu culpabilises de continuer à le laisser hanter tes rêves, ces mêmes rêves qui te laissent pantoise. marnie? si tu rêves érotique, j'exige un droit à l'image. crétin. ce bourdonnement continu dans tes oreilles s'estompe, le décor t'apparaît clairement. que la fête commence.


alors manie truc chose? quoi de nouveau dans ta vie de... célibataire? tes lèvres se pincent sous la morsure de la provocation. manie. il fallait qu'elle la perde justement, cette manie de l'appeler manie. marnie bordel, marnie. comment pouvait-on t'en vouloir d'avoir des envies de meurtre? avec ce même sourire satisfait qui la caractérise alors qu'elle te regarde, se délecte du fard de tes joues, se régale de cet effet qu'elle a sur toi. elle a toujours eu la position de force, et ce depuis toute petite. ce n'est pas pour autant que tu lui as obéis corps et âme, mais tu n'as jamais su te dépêtrer de cette position de vaincue. peut-être parce qu'elle est arrivée la première. ou alors était-ce parce que votre relation était vouée à l'échec dès ta naissance. dès le premier contact l'air s'est électrifié, dès le premier regard vous vous êtes détestées. comme le font toutes les soeurs, parait-il. mais tu n'as encore jamais connu de sœur qui laisse sa cadette dans la boue, à se faire tirer les couettes par les pestes de l'époque. il te semble même qu'elle avait ri de bon coeur. ou alors était-ce de la mauvaise foi? peu importe. elle tourne autour de toi comme un vautour, traquant la moindre de tes failles, avec cet air innocent que tu aimerais ne plus jamais voir. tu te concentres sur ces tomates que tu coupes, sur ce couteau que tu tiens et qui ferait une splendide arme de crime. cette pensée te fait sourire, tu souris de l'absurdité de ta pensée. quoique. ta mère entre dans votre sphère apocalyptique, et immédiatement elle reprend ses distances avec toi. elles bavardent, tu ne les écoutes que d'une oreille. oui, on a prévu de partir aux baléares pour notre voyage de noces, c'est tellement romantique tu trouves pas? de deux oreilles en fin de compte. et c'est dans ton coeur que le couteau vient planter sa lame, lentement. elle le fait exprès va. tu marmonnes dans ta barbe. elle en fait trop, tes nerfs sont sur le point d'imploser. sa voix mielleuse te donne soudainement la nausée, son bonheur, envie de vomir. qu'est ce que tu marmonnes dans ta barbe toi? et tu soupires, excédée par tant de violence verbale, par ses attaques répétées. rien, j'me disais juste que tu pourrais aller t'étouffer de bonheur plus loin. sa bouche forme un o d'indignation, et les reproches maternels ne tardent pas à fuser. sois mignonne, pas jalouse, sois contente pour elle, pour eux. bah, sottises.


énième repas de famille. tes parents ont vu les choses en grand pour leur cinquantième anniversaire commun et tes vingt-six ans. il y en a même que tu ne connais pas. grand oncle, arrière petit cousin, ou quelque chose du genre. mais malgré le calvaire que de devoir aider ta mère aux fourneaux, tu ne peux t'empêcher de ressentir cette petite touche d'excitation. tu sais que tu le revois. ça doit bien faire six/sept mois que tu ne peux lui parler que via whatsapp, et le manque du son de sa voix se fait violemment ressentir. jamais encore vous n'aviez été séparé aussi longtemps. foutu boulot. tu le guettes, lances un regard incessant par-dessus ton épaule. tu trépignes, t'impatientes de ta propre impatience. bonsoir. le rythme de ton coeur s'emballe, se perd dans une danse euphorique. tu fais volte face. la douleur. fulgurante. c'est qui elle? tu ne te préoccupes pas de son regard qui te foudroie, de la gêne de cette femme qui l'accompagne. j'te présente ma petite amie, marnie. petite amie. était-il possible que tu aies pu oublier ce genre de détails? était-il possible que tu aies réellement pensé qu'il ne serait jamais qu'à toi? ta gorge se noue, tu peines à respirer. si tu respires, tu pleures. le choix est vite fait, tu préfères mourir étouffée. sans un mot tu tournes le dos au couple. couple. tu es consciente de ton caprice, consciente de la stupidité de ta réaction. consciente aussi que tu risques de le perdre. marnie, qu'est ce qui te prend? les bras croisés, tu lui tournes le dos, esquisses un sec mouvement d'épaules pour t'arracher à son étreinte. pas maintenant, les larmes sont toujours là. t'étais vraiment obligée de ramener ça le jour de mon anniversaire? et tu insistes sur le ça, comme on parle d'une chose dédaigneuse, sans aucune importance. il soupire, et prend cette voix qui te faisait rire avant, et qui maintenant t'insupporte. comme s'il parlait à une gamine. stop. ça, c'est celle avec qui je suis depuis bientôt six mois. tu pourrais montrer, si ce n'est du respect, au moins de la politesse. et pour quoi faire? la regarder roucouler avec ton cousin, le tien, le seul homme qui ait vraiment eu grâce à tes yeux? belle blague. t'avais pas le droit de faire ça. de me faire ça. et tu lui fais face, avec une lenteur douloureuse. les larmes ruissellent, tu ne les contrôles plus. il t'ouvre ses bras instantanément et tu t'y jettes, couvrant son torse de ridicules coups de poing. et tu t'épuises. dans la sécurité de son étreinte, dans la chaleur de son corps. il plonge son nez dans ta chevelure rousse, en inspire l'odeur, ses doigts s'emmêlent dans tes boucles, en épouse les formes. tu ne saurais décrire cette sensation, cette douce chaleur qui t'envahit. comme une plénitude. une sérénité. tu te sais et tu sens aimée. tu quittes son tee-shirt que tu as inondé de tes maux et esquisses un sourire crispé. désolée. il te sourit tendrement, caresse ta joue du bout des doigts. ton regard accroche le sien à nouveau et là, le feu. des braises violemment ravivées, un incendie dévastateur. ses lèvres partent à la découverte des tiennes, la respiration saccadée. ses bras te repoussent, sa bouche te retient. la tête tourne, volte et virevolte, tu perds pieds et sens, tu te noies dans un tourbillon de sentiments. divers, mitigés, tu perds contenance. quand enfin tu parviens à respirer, tu n'es plus qu'un amas de sensations. voilà pourquoi je suis parti.

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MessageSujet: Re: counting stars.   counting stars. EmptyVen 19 Déc - 13:17

Holland est magnifique. J'avais hésité à la mettre dans les suggestions d'avatars pour l'amie de Mattie. Elle a des yeux qui pétillent. counting stars. 2854805733 Je file te la réserver. I love you
Bienvenue, j'ai hâte de savoir ce que tu feras de la belle. counting stars. 2014417941
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MessageSujet: Re: counting stars.   counting stars. EmptyVen 19 Déc - 13:34

justement, j'ai regardé ton lien dans les prédéfinis et je pense te mpotter incessamment sous peu. counting stars. 312024731
merci beaucoup I love you
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MessageSujet: Re: counting stars.   counting stars. EmptyVen 19 Déc - 13:40

Oh, je ne m'y attendais pas. counting stars. 2854805733 Hâte de te voir débarquer alors. counting stars. 2706441538
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MessageSujet: Re: counting stars.   counting stars. EmptyVen 19 Déc - 20:44

Ta fiche est belle, ta plume est divine, je suis sous le charme de Marnie. counting stars. 3587747087
Je te valide. I love you
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MessageSujet: Re: counting stars.   counting stars. EmptyVen 19 Déc - 20:49

oh, c'est tellement gentil, je suis ravie que ça te plaise. counting stars. 2854805733
mille merci pour la validation. I love you
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