⊹Oh it's enough to feel better If I could

Just tell me what I have to do, to keep myself apart from you. — crédits@thelovelyrichardmadden.

nom complet Asher Dellingthon. □ Bien qu'il ait atteint trente ans, Asher ne connait pas encore la crise de la trentaine. Sans doute ne se considère-t-il pas encore comme quelqu'un de plus âgé que lorsqu'il avait 29 ans. □ date et lieu de naissance C'est à Washington DC, un vingt-cinq octobre qu'il a vu le jour. Une date comme une autre qui n'a pas eu de véritable influence sur la société mais il s'en porte très bien. □ nationalité Américaine. □ origines De par sa mère, il possède des origines françaises. □ statut matrimonial Asher est en couple, une situation dans laquelle il se complet sans pour autant se lancer. L'homme sait, au fond de lui, que cette situation est plus que précaire, qu'un jour ou l'autre elle finira. Et pourtant, c'est avec une certaine indifférence qu'il attend cette fin inévitable. Pour lui, elle ne sera pas malheureuse car depuis bien longtemps, il sait que son histoire avec Lydia est vouée à se terminer. Trois ans de relation, d'amour, d'amitié, de gentillesse, mais surtout trois ans à vivre dans cet immense mensonge. Parce que même si tout fait d'eux le parfait couple, leurs coeurs ne s'appartiendront jamais et c'est bien là que le bât blesse. métier/études Asher est traducteur littéraire et un passionné des langues, il est pour l'instant habilité à traduire des romans en anglais, russe, français, mandarin, espagnol et portugais. Ce métier permet de lui apporter, en plus d'une grande connaissance en langue, une connaissance littéraire plus que remplie. □ statut monétaire Asher n'a jamais manqué d'argent. Son père sénateur, vient d'une longue lignée d'hommes politiques pour qui l'argent a toujours été une évidence. Tandis que la famille de sa mère descent d'anciens aristocrates français dont il est maintenant l'unique héritier. Cela fait de lui le parfait mélange d'un enfant qui n'a jamais manqué d'argent. Qui plus est sa tante avocate lui a toujours assuré un certain confort financier. Maintant, il assure lui-même sa fortune grâce à son métier. Asher n'est pas le genre d'hommes à vouloir compter sur un héritage pour s'en sortir. □ groupe the beavers..

♡ Livre. Un mot qu’il a fait sien, un mot qui l’a toujours fait sourire. Parce que la lecture a été son monde, son refuge contre tout, contre ce monde qui parfois devenait noir et terrifiant. Parce que c’est par le biais des livres qu’il a pu découvrir d’autres langages, développer cette passion qui finalement lui a permis d’en faire son métier.

♡ Son premier souhait est lié à son métier. Lui qui rédige dans d’autres langues les écrits d’autrui rêve de pouvoir réaliser ses propres livres. Au fond, cette première étape est déjà pleinement réalisée puisque depuis quelques années, il écrit plus d’une histoire qui reste pourtant inachevée par manque de relecture, par peur de ne pas arriver au but qu’il s’est fixé. Personne, pas même Lydia ou Marnie n’est au courant de cette envie grandissante de devenir écrivain, d’écrire ses propres histoires dans toutes les langues qu’il est capable de parler. Son deuxième gros souhait serait d’avoir finalement le courage de laisser parler son cœur, de ne pas l’enfermer chaque fois qu’il croise sa jolie rousse. Peut-être que tout ce qu’il devrait souhaiter c’est un peu de courage mais il sait ce qui bloque le tout. Ce n’est pas tant sa personne mais la situation, tout ce qu’il l’entoure, cette complication de significations qui rend le tout tellement difficile à démêler. Et puis il y a tous ces petits souhaits: trouver la personne faite pour Lydia, passer une bonne journée, apprendre une nouvelle langue, voir Marnie, acheter un chien, aller voir sa tante, réparer son armoire, apprendre à jouer de la guitare, …

♡ Sa première peur est de perdre les personnes auxquelles il tient. Sans les autres, Asher est incapable de survivre. S’assurer du bien être des gens qu’il apprécie est quelque chose d’important pour lui.
Il a d'ailleurs souffert le martyre lorsqu'il a passé tellement de temps loin de Marnie. Un mal qui était toutefois nécessaire, pour survivre, pour s'assurer de lui laisser sa chance au bonheur, ne pas devenir le fautif des troubles de son être.

♡ Sa seconde peur est d'un jour attraper la maladie d'Alzheimer. Pour lui, cela serait comme la fin de tout. Lui, l'homme avec cette si grande soif d'apprendre réduit à l'état d'un légume, incapable de se rappeler de la moindre chose. Si cela devait lui arriver, sans doute finirait-il par se donner la mort plutôt que de devoir vivre en étant plus que l'ombre de lui-même.

♡ Sur son téléphone, il y a un peu de tout, des applications utiles tel que la lampe de poche, d'autres plus amusantes tel que des jeux ou encore d'autres plus relationnelles comme whatsapp, snapchat ou instagram. A la demande de Lydia, il s'est inscrit sur Twitter et facebook mais n'y va que très rarement. D'un autre côté, il y a également tout ce qui a une grande utilité dans son quotidien, son réveil, son agenda, son petit dictionnaire de poche dans toutes les langues qu'il connait. Et finalement, toute une partie plus personnelle, ces messages, ses photos et puis tout le reste. Un bon petit mélange d'utilités et d'inutilités qui en fait son propre téléphone mais ne pensez pas y avoir accès, un mot de passe en barre l'entrée et personne n'a le droit de l'utiliser même pas Lydia.

Sa mère est morte par sa faute ou plutôt c'est ce qu'il continue de penser après toutes ses années. Un ballon qui part sur la route, un enfant qui ne peut s'empêcher d'aller le chercher et finalement une mère qui vient le sauver de la confrontation inévitable avec la voiture. Une vie en échange d'une autre. Jamais son père n'a réussi à lui pardonner cette erreur qui finalement n'était pas sienne. Il ne lui parlait plus, ne s'intéressait plus du tout à son fils et le laissait vivre en compagnie d'une gouvernante. Un an plus tard, la soeur de son frère a pris la décision d'accueillir l'enfant chez elle à Staten Island afin de lui offrir un contexte de vie plus agréable. Asher n'a jamais regretté sa vie loin de ce père qui est devenu pour lui bien plus qu'un étranger. Ils ne se sont pas revus depuis des années. Sa tante est devenue pour lui comme une mère de substitution et il est devenu comme son fils. Cette dernière n'a jamais pu avoir d'enfant. □ La demeure d'Asher ressemble à une bibliothèque géante, il est impossible de ne pas trouver un livre dans au moins une pièce de sa demeure. Sa bibliothèque est d'ailleurs ce qui prend le plus de place chez lui et ce dont il ne pourra jamais se passer. Lire c'est pour lui un moyen de s'évader et de se sentir bien mieux. □ Asher adore marcher sous la pluie, ses cheveux beaucoup moins. Bien souvent, il finit par ressembler à un caniche en mauvais état ce qui n'est pas des plus agréables à regarder. □ Il est incapable de passer une journée sans avoir été faire un tour sur le profil de Marnie, un moyen comme un autre de rester en contact avec celle qu'il tente pourtant d'oublier. □ Cela fait des années qu'il jure qu'il arrêtera bientôt de fumer mais il retombe à chaque fois dans ses travers si bien qu'il n'a jamais vraiment arrêté, au grand dam de certaines personnes. □ C'est un très mauvais bricoleur mais un très bon cuisinier, cela équilibre un peu les choses même si cela ne lui enlève quand même pas son incapacité à réparer la moindre chose qui peut se révéler handicapante dans son quotidien. □ Asher apprend pour le moment le suédois, une langue de plus à mettre dans la liste. Plus jeune, il a également appris à parler la langue des signes et depuis passe au moins une fois par mois dans une association pour personne sourde afin de discuter avec eux. □ L'homme inaccessible, voilà comment beaucoup de demoiselles l'ont surnommé. Son côté calme et réfléchi a toujours eu tendance à plaire aux femmes mais lui, il n'a jamais été de ceux qui s'amourachaient de la première donzelle passant son champ de vision. Sa vie amoureuse a pendant longtemps ressemblé à un véritable dessert, un nombre très restreint d'histoire d'une nuit qui ne servait qu'à cacher l'abominable vérité. Celle qui l'empêchait finalement de se lancer dans une relation : Marnie. C'est avec un assez grand étonnement que les gens le voient maintenant en couple avec Lydia. Pour beaucoup, ce manque d'attrait pour l'amour ne pouvait être que le résultat d'une homosexualité refoulée. Asher aime les femmes ou plutôt une voir deux... De manière différente mais ils les aiment de tout son coeur. L'amour n'est pas un chemin sûr et doré, non, il est noir et dans son cas, se fait chaque jour un peu plus tortueux. □ Il ne dit jamais de gros mots en anglais, il préfère utiliser d'autres langues, moins connues, pour ne pas passer pour un mal élevé. □ Le matin, une journée ne peut pas commencer sans café. □ Dans un de ses tiroirs se trouve un double des clés de sa maison, il se demande chaque jour s'il l'offrira à Lydia et finalement repousse l'échéance, encore et encore. □ Honteusement pour son âge, il est incapable de repasser, si bien qu'une partie de son linge part au pressing tandis que l'autre passe chez sa tante. □ C'est un excellent pianiste même s'il n'a jamais vraiment aimé jouer de cet instrument. Pour lui, c'était seulement la meilleure manière d'honorer sa mère. □ Il refuse de parler de ses parents, sans doute parce que c'est trop douloureux, sans doute parce que cela fait bien longtemps qu'il n'arrive plus à mettre un véritable visage sur cela de sa maman. Parce qu'elle est partie trop tôt, parce qu'une mère de substitution a pris de la place, peut-être bien trop. □ Il est ambidextre. □ C'est un excellent danseur mais un piètre chanteur, heureusement il ne pousse la chansonnette que dans sa douche. □ Lorsqu'il est stressé, il lui est impossible de rester sur place, il a besoin de bouger, encore et encore. □ Il ne supporte pas de regarder le journal télévisé et préfère sans fois la version papier. □ C'est un accro de star wars, il regarderles films au moins une fois par mois. □ Pour sa famille, il serait prêt à tout, même à commettre un meurtre. □ Il n'offre jamais de fleurs, il trouve que cela fane trop rapidement pour le prix. □ C'est amoureux de la crème glacée, il pourrait en manger matin, midi et soir s'il s'écoutait. □ Il essaye de faire du sport au moins une fois par semaine mais parfois le temps lui manque.
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pseudo brightstar. □ âge majeure. □ pays belgique. □ avis sur le forum écrire ici. □ ⊹Oh it's enough to feel better If I could 2854867048

célébrité Richard Madden. □ un dernier mot ⊹Oh it's enough to feel better If I could 1448172928

ici.

« Oh les mecs, regardez la rousse là-bas, elle est trop canon. » Une fois encore, Steven paraissait passer son temps à observer les filles tandis que toi, tu te contentais de te détendre sur l'herbe fraiche et de profiter. Les vacances pointaient le bout de leur nez et tu n'avais envie que d'une chose, les rendre les plus longues possibles. Du haut de tes 18 ans, tu n'avais rien à faire des femmes. C'était étrange, tu le savais bien mais cela ne voulait en aucun cas affirmer que ton penchant se dirigeait vers les hommes. Les femmes avaient beau te plaire ou même attirer ton regard, un sentiment de non envie te saisissait. Te mettre en couple et aimer étaient deux notions qui restaient inconnues et finalement, tu ne ressentais pas le besoin de te presser outre mesure. Ta tête finie par te retourner vers la rousse supposément jolie. Tu n'avais pas envie de la regarder, simplement jeter un coup d'oeil et acquiescer ce que tu disais tes amis. Sauf que la vue changea la donne. L'espace d'un instant le temps sembla s'arrêter tandis qu'eux continuaient de parler. « Je suis sûr qu'elle doit être bonne au pieu. » La phrase de trop dans leurs messes basses. D'un seul coup, tu te relevas avant de te précipiter sur l'homme qui venait de parler. Il ne comprenait pas ce qui t'arrivait. Personne ne pouvait comprendre car ils n'étaient pas toi. Parce que pour eux, elle n'était qu'une jolie file passant au coin de la rue mais pour toi c'était tout autre chose. « Ne reparle plus jamais d'elle de la sorte ! C'est ma cousine tu as compris ! » Et tu les avais laissés pour aller la retrouver. Il y avait suffi d'un regard dans sa direction pour qu'elle se précipite vers toi. La danse recommençait, celle qui existait entre vous depuis tellement d'années. Tendrement, elle courrait vers toi tandis que toi, tu l'attendais, patiemment, les bras ouverts, près, tout simplement, pour elle. D'un simple geste, tu l'avais entourée, vos corps se retrouvant, formant un tout parfait, comme si vous étiez fait pour vous emboiter, une boite trouvant un couvercle. « J'ai envie d'une crème glacée tu m'accompagnes ? » Tu espérais bien qu'elle accepte, rien que pour t'assurer que plus aucun garçon n'oserait faire de propositions indécentes sur sa petite personne. Ce n'était qu'une enfant ? Et pourtant, la personne que tu avais regardée n'avait plus rien d'enfantin. C'était une adolescente qui s'embellissait de jour en jour et même toi tu ne pouvais nier qu'elle était agréable à regarder. Sauf que tu ne pouvais point penser de la sorte. Elle était ta cousine, cette enfant que tu connaissais depuis ton plus jeune âge, celle dont tu ne pourrais jamais te passer. Ta lumière dans ce monde noir, ton petit ange à toi. Et au fond, tu savais que tu espérais qu'aucun garçon ne l'éloignerait jamais de toi. Toutefois, tu n'avais pas encore conscience que ce n'était pas seulement le cousin protecteur qui parlait en toi...
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« Alors, vous deux, quand emménagez-vous ensemble » Pourquoi ? Pourquoi cette question revenait à chaque repas ? Pourquoi cette dernière te mettait-elle toujours si mal à l'aise ? Parce que tu savais bien que la réponse était simple mais que vous la compliquiez tous les deux, toi bien plus qu'elle. Une part de toi connaissait la réponse à cette question. Trois années, cela faisait trois merveilleuses années que tu passais en compagnie de Lydia. Aucun doute qu'elle avait réussi là où tant d'autres avaient échouées. Avec elle, tu savais que l'avenir s'annonçait serein, sans doute trop. Avec elle aucun soucis à l'horizon et cela était autant plaisant que déplaisant. Oh bien sûr que tu l'aimais, sur ce point tu n'avais aucun doute mais l'aimais-tu assez ? Cette question avait pendant longtemps torturé ton esprit et la réponse s'était imposée presque d'elle-même. Oui, tu l'appréciais. Ce n'était pas seulement son physique qui t'avait attiré mais toute sa personne. De cette manière si délicieuse qu'elle avait ce sourire à son énervement devant la petite taille de ton dressing. Oui, tu l'aimais mais pas assez, pas assez bien pour l'imaginer comme la femme de ta vie. Si elle avait bien réussi à t'atteindre ton coeur lui restait inaccessible mais tu ne t'en voulais guère. Parce que tu savais qu'un jour, elle le comprendrait. Un jour, elle trouverait cet être pour lequel elle était faite et tu la laisserais partir vers quelqu'un qui la satisferait complètement. Mais en attendant, tu préférais l'avoir près de toi, au fond, tu savais que la place qu'elle s'était créée ne pourrait être reprise. Elle avait réussi à te devenir indispensable et la quitter revenait à briser ce lien qui vous unissait, sur lesquels, étonnamment les mots ne semblaient pas avoir d'emprise. Non, égoïstement, tu ne voulais pas briser son coeur et ce qu'il y avait entre eux. Non, dans ton ,sans doute, un peu dérangé, la seule manière acceptable de la perdre serait de la laisser à l'homme de sa vie. « Nous voulons être sûr de nous. » Cette réponse te réchauffait le coeur. Lydia savait toujours comment s'en sortir, comment trouver les mots qui parfois te manquaient dans ce genre de situation. Sans étonnement, le repas c'était fini peu de temps après. Tu savais toujours quel était le bon moment pour t'éclipser et ne pas subir un interrogatoire en bonne et due forme. Tranquillement vous marchiez, sans mots à vous dire, ou peut-être qu'ils étaient de trop. Peut-être qu'ils amenaient de manière trop direct ce que vos coeurs arrivaient encore à cacher. Tu savais, sans le moindre doute que d'autres couples, à votre place, seraient mariés et avec, au moins, un enfant mais ce n'était pas votre cas, ce n'était pas vous... Lydia venait de s'arrêter dans une petite boutique de cupcakes, un dessert pour vous deux. Toi, tu attendais tout simplement dehors quand elle est apparue au coin de la rue. Deux années et tu n'avais rien oublié. Est-ce qu'elle ne s'était pas embellie avec l'âge ? Sans doute mais tu étais malheureusement incapable d'y changer la moindre chose. Tout ton être te quémandait de te diriger près d'elle, de lui offrir tout plus beau sourire mais le temps avait fait son effet. Tu savais que l'éloignement serait sa seule voie vers le bonheur. Près de Marnie, tu deviendrais un poids, celui qui réduirait sa vie à néant. Parce que, sans le moindre doute, tu détesterais tout homme qui oserait s'approcher d'elle. Tu le haïrais pour être l'homme qu'elle a choisi, tout en sachant que cette place te serait à jamais interdite. Quelques pas et elle serait près de toi. Quelques pas et tu te sentirais mieux, rempli l'espace d'un instant de ce bonheur dont tu te privais depuis tant de temps. « J'ai pris des cupcakes au chocolat. » Tu ressortais immédiatement de ta contemplation, te concentrant sur ta petite amie. « C'est parfait. » Rien que le temps de tourner ta tête que Marnie avait déjà changé de trottoir. Une fois encore, seul des regards s'étaient échangés et au fond de toi, tu savais que c'était la meilleure chose à faire, pour elle, pour ne pas rendre la situation plus étrange. Oh tu savais bien qu'aucun lien biologique ne vous unissait mais pendant tellement d'années elle avait été cette soeur que tu n'avais jamais eue, ta cousine et non cette fille dont tes rêves étaient peuplés. L'aimer de la sorte était malsain, interdit, trop compliqué pour être tenté. Alors, tu vivais l'amour aseptisé, fait de bons sentiments et de moments toujours parfait. Un amour fini avant même de commencer. Un jour ou l'autre, tu te retrouverais seul, les deux femmes de ton existence ayant trouvé chaussure à leurs pieds. Et pourtant, tu ne leur en voudrais pas, non, tu ne leur souhaitais que du bonheur même si cela ne se passera pas à tes côtés.

Bienvenue. I love you

(Non, je ne jongle pas avec mes dc. ⊹Oh it's enough to feel better If I could 2627469654

)
Comme tu le sais, Sam est déjà tenté. Tu es le troisième. Dis-moi donc si vous trouvez tous les trois un arrangement, sinon, ce sera à la meilleure fiche. What a Face

TOI.
dépêche-toi vite de tout écrire, je veux te lire, je te veux toi.
bienvenue officiellement.

Mattie : (pas du tout, du tout ⊹Oh it's enough to feel better If I could 4058844158

)

Merci beaucoup ⊹Oh it's enough to feel better If I could 2854867048

et oui j'ai appris que Sam était fort prisé ⊹Oh it's enough to feel better If I could 706931278

Je pense que je vais prendre le risque et tant pis si je dois trouver une autre tête si ce n'est pas moi

Marnie : toi toi toi ⊹Oh it's enough to feel better If I could 3114896008

⊹Oh it's enough to feel better If I could 3114896008

j'écris une grande partie dans l'aprem ⊹Oh it's enough to feel better If I could 4058844158

et merci beaucoup ⊹Oh it's enough to feel better If I could 1448172928

Excellent choix de scénario.
Bienvenue.

Agne : merci beaucoup et superbe choix d'avatar c'est si rare que bella soit prise sur un forum

il a un de ces succès le sam dit donc ⊹Oh it's enough to feel better If I could 706931278

(yenecomprendpaspourquoi)
bienvenue, pis bon courage pour ta fiche ⊹Oh it's enough to feel better If I could 312024731

claflin

bienvenue ici. I love you

Décidément. Laughing

Bienvenue parmi nous. cat

Ringo (star ⊹Oh it's enough to feel better If I could 1498356390

) merci beaucoup et oui j'avoue que Sam s'arrache comme des petits pains ⊹Oh it's enough to feel better If I could 706931278

j'ai d'ailleurs été étonnée de le voir libre sur le bottin, je sais pourquoi maintenant ⊹Oh it's enough to feel better If I could 706931278

Aphrodite : merci beaucoup ⊹Oh it's enough to feel better If I could 2854805733

Adrian : Oui Laughing

merci beaucoup et bonne chance pour l'avatar à toi ⊹Oh it's enough to feel better If I could 2854867048

Non, pas ce scénario. NON !

Celui qui va définitivement m'arracher tous mes pass pour marnieland.

bienvenue parmi nous,

Roman : QUoi quoi qu'est ce que tu oses faire à MARNIELAND ⊹Oh it's enough to feel better If I could 1699155494

⊹Oh it's enough to feel better If I could 110213132

MERCI beaucoup ⊹Oh it's enough to feel better If I could 2706441538

T'es beau

⊹Oh it's enough to feel better If I could 3060952128

Moi aussi j'ai hâte de lire tout ça ⊹Oh it's enough to feel better If I could 2706441538

Et puis bienvenue ⊹Oh it's enough to feel better If I could 765642518

Lydia tu es belle aussi I love you

merci beaucoup ⊹Oh it's enough to feel better If I could 765642518

Pour éviter la triple compétition, je me suis dirigée vers Richard Madden I love you

ah, lala, si vous saviez ce qu'on peut faire à marnieland.
il est beau madden.

Héhé moi aussi je veux faire un tour à Marnieland ⊹Oh it's enough to feel better If I could 4058844158

⊹Oh it's enough to feel better If I could 184056490

si tu es trèès gentil avec marnie, peut-être que tu auras un marniepass. je répète, très, trè(...)èès gentil.

bienvenue et bonne chance pour ta fiche
très bon choix d'avatar

Mais il est très très très très gentil avec sa Marnie ⊹Oh it's enough to feel better If I could 4058844158

Isaac, merci beaucoup et puis que dire du tient garrett est perfecto ⊹Oh it's enough to feel better If I could 2854867048

je suis en amour devant ta fiche, c'est exactement ce que j'attendais. pour moi c'est parfait, et bien plus encore.

Han merci merci merci beaucoup ⊹Oh it's enough to feel better If I could 2854805733

J'ai tellement aimé le passage sur le métier, et les livres, et le rêve. ⊹Oh it's enough to feel better If I could 2854805733

⊹Oh it's enough to feel better If I could 667360382

Puisque Marnibelle semble également satisfaite, je te valide. I love you

Merci beaucoup ⊹Oh it's enough to feel better If I could 2706441538