little things. ∞

Quelqu’un m’a une fois dit : « tu peux tout faire aussi longtemps que tu peux en rêver. » — crédits@LONDON JUKEBOX.

nom complet Je porte le nom de famille de Edviousen, nom de famille qui vient de l’Amérique car mon père est d'origine américain. Jounàs, mon prénom vient d'un livre français que ma mère adore. Elle même vient de France, de la capitale. □ âge j'ai vingt trois ans. □ date et lieu de naissance Je suis née le treize mai mille neuf cents quatre-vingts onze à Portland en Amérique. C'est l'endroit où j'ai vécu pendant mes seize premières années. □ nationalité Je suis américain. □ origines J'ai les origines américaine de mon père et française de ma mère. □ statut matrimonial Je suis célibataire, mais je suis aussi amoureux d'un garçon un peu plus jeune que moi du nom de Eliott. métier/études Je travaille en tant que professeur de littérature. □ statut monétaire L'argent de papa et maman m'aide un peu, mais je préfère me débrouiller par moi-même. □ groupe The Rabbit est mon groupe.

On attend de vous, dans cette partie, cinq informations précises. Dans un premier point, vous parlerez du mot préféré de votre personnage. Que représente-t-il pour lui, quelle définition lui accorde-t-il ? Dans un second point, vous dresserez sa wish list (ses souhaits). En troisième et quatrième points, vous développerez deux de ses plus grandes peurs. Et, pour finir, vous nous direz le contenu de son portable. Si votre personnage n'a pas de portable, vous parlerez alors du contenu de son sac à main, de sa garde-robe, ou de tout autre objet de 'rangement'. Il n'y a pas de minimum de lignes. Soyez complets. Vous pouvez rajouter une liste de tics, manies et habitudes à la suite, mais c'est tout à fait optionnel. On cherche surtout, avant tout, de l'originalité.

♡ Paranoïaque. C'est un mot de onze lettres mais qui me fascine. Mon psychologue m'a dit que je suis un paranoïaque mais c'est faux. J'ai des crises de temps en temps mais c'est tout. Je me contrôle et je ne suis pas un fou, mais c'est un mot qui m'intrigue. Je peux connaitre sa définition par coeur, parce que au fond je sais que je suis un malade. Mais comparer à d'autre, je réussi à me contrôler.
♡ Je souhaite tellement de choses. Mais souhaitais, c'est au fond de sois espérer et on a passé l'age de croire au Père Noël. Je souhaite des choses impossibles comme d'autres possibles. Revoir ma soeur, impossible. Dire mes sentiments à Aaron, possible. Mais trop de fierté pour ça. Faire le tour du monde ? Possible, mais très cher. Faire un saut en parachute, possible. Mais il est hors de question que je prenne l'avion. Retourner en enfance, impossible.
♡ Ma plus grande peur c'est de prendre l'avion. Depuis la mort de ma soeur j'ai peur de ça. Il y en a qui on peur de l'eau, d'autre d'une bestiole mais moi c'est l'avion.
♡ Ma deuxième grande peur est mes crises de colères. Je ne me contrôle jamais, je suis dans un état second alors j'ai peur parce que je n'ai pas envie de faire du mal autour de moi. Pas aux seuls personnes qui comptent le plus pour moi. Je me sentirais trop mal.
♡ Mon portable à dedans un nombre incalculable de photos. Mais de tout, mon chanteur préféré à une meuf à poil. Ouais, je suis du genre très intime puis de toute manière c'est mon téléphone, et personne n'a le droit de me le piquer. Après il y a les applications, et les sms. Mais il y a surtout ma playliste, celle qui regroupe toutes mes chansons préférées.
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Il est tard à Portland. Je crois même qu'il doit être vingt heures. Et je ne sais pas comment elle a réussi à me faire accepter à ce que je l'emmène à l'aéroport. Je ne vous décrirai jamais assez la boule au ventre que j'ai. Je ne veux pas qu'elle parte. Même temporairement. « Slevy, tu es obligé ? » Elle me regarde avec un grand sourire aux lèvres. Son passeport à la main, pourtant elle ne part que dans une heure. Elle est brune avec des yeux magnifiques, d'un bleu. Comme les miens. C'est ma soeur jumelle en même temps et on s'est toujours très bien entendu. « Je reviens dans trois semaines Jounàs, puis tu sais que c'est important pour mes études. Imagine ta soeur préférée, oui je sais tu n'as que moi, qui vais interviewer monsieur Karl Lagerfeld à Paris ! Et je vais travailler dans une célèbre boutique là-bas. Et je vais revoir Mia. » Elle est tellement contente qu'elle saute dans mes bras. Mes bras ont serré sa taille. On ne se sépare pas, enfin très rarement. On dit que les frères jumeaux sont très unis, et je confirme. Mais elle et moi on n'est pas pareil. Je suis plutôt réservé et timide. Elle est sociale et elle est plutôt populaire au lycée. Et elle a toute mon admiration. « Je sais chérie. » J'embrasse sa joue. Mais c'est important pour elle. C'est son rêve. Elle en a parlé beaucoup parce qu'elle avait tellement hâte. « J'y vais mon chaton, je veux être à l'avance. Tu vas me manquer. » Un dernier bisou sur la joue, et elle se met à courir dans le couloir de l'aéroport. Elle est déjà loin. Elle donne son billet et elle me regarde une dernière fois. Un signe de main. Et j'ai un sourire nié. Un dernier sourire, un dernier regard et si j'aurai réussi à la persuader de rester, de laisser son rêve de côté parce que je suis égoïste et que je n'ai pas envie qu'elle soit loin de moi. Si j'aurai réussi à lui faire de la peine et qu'au dernier moment elle me dirait qu'elle reste avec moi elle serait encore en vie. On n'avait que dix-sept ans. Elle avait toute la vie devant elle.
« Jounàs, mon coeur. » Ma mère est assis sur mon lit. Elle a une main qui se perd dans mes cheveux. Elle est morte il y a deux mois. « Jounàs... » Je n'ai pas pleuré. Je n'ai pas parlé non plus. Je suis devenu un fantôme. Mes parents essayent d'être fort à la situation face à moi mais je n'arrive pas à faire quoi, à être fort. « Tu sais que papa et moi on est là mon ange. » Je ne dis rien. Je suis dos à elle, je fixe un point invisible. « Ta soeur nous manque aussi. » On l'a enterré il y a un mois. Il y avait tous les élèves du lycée et je ne rigole pas. Elle était très aimé et amie avec tout le monde. Je n'y suis pas retourné depuis l'annonce et le directeur comprend la situation. « Je descends mon chaton, si tu as faim je viendrais te déposer un repas. » Elle s'apprête à se lever mais je ne veux pas être seul. J'attrape sa main et je la serre. Alors elle s'allonge à côté de moi dans le lit. Tout doucement je me suis retourné. Elle s'apprête à se lever mais je ne veux pas être seul. J'attrape sa main et je la serre. Alors elle s'allonge à côté de moi dans le lit. Tout doucement je me suis retourné. « Elle est morte maman. » Ma voix est rauque. Et ma mère semble surprise de m'entendre parler. D'entendre le son de ma voix. En même temps, ça fait deux mois, jour pour jour, que je n'ai pas dit un mot. Mon corps tremble, et je l'ai remarqué uniquement parce qu'elle m'a attrapé la main pour me la caresser. « Oui mon ange, elle est morte. » Je l'ai prise dans mes bras et je me suis mis à pleurer. D'abord des larmes silencieuses avant de me mettre à crier. J'ai entendu les marches de l'escalier, et vu la vitesse, j'en ai conclus que c'était mon père qui venait en courent. Ils se sont échangé un regard impuissant avant de me prendre dans les bras et de me laisser évacuer ce que j'ai gardé en moi pendant deux mois. Alors c'est ça le deuil . Souffrir à cause de la personne qu'on aime le plus parce qu'elle est morte est essayé de tourner la page . Si c'est ça, je ne le souhaite à personne. Car c'est horrible.

« Tu pleures . » « Non. » « Si tu pleures. » Je ne dis rien. Je ne veux pas le voir, pas aujourd'hui. Un an où elle n'est plus là, qu'elle m'a abandonné et de la tristesse j'en suis passé à la haine. Elle me manque, beaucoup trop. Je n'ai jamais réussi à tourner la page de sa mort, et je suis devenu encore plus enfermé. J'essaye d'être fort devant mes parents et de faire des efforts mais ils ne sont pas cons, parce que ce sont mes parents, et ils entendent très bien mes sanglots le soir. « Aaron, s'il te plaît, laisse-moi. » C'est un murmure et un supplice. je suis assis au sol, avec comme dossier le mur. C'est très inconfortable. Et il soupire mais il ne recule en rien. Mes mains tremblent. Il s'assoit en face de moi et il me prend les poignets. « Chut, calme toi... » Aaron est mon ami depuis moins d'un an, je l'ai rencontré dans la salle d'attente pour mon premier, et seul, rendez-vous chez le psychologue. Depuis la mort de Slevanna, je suis devenu assez violent. « C'est pour exprimer sa colère en dehors des mots. » A dit mon psychologue. Nos parents sont amis, ils sont même très proches, ils ont été là à la mort de Slevanna alors qu'ils ne se connaissaient à peine et ils sont de suite devenu proches. J'essaye de me contrôler. Ouais, il se trouve que j'ai des légères, bon très violent, crise. « Il faut que tu te reposes Jounàs. » « Pas envie. » Parce que je ne dors plus. Et au fond, même si je suis du genre agressif et violent avec Aaron, il compte énormément pour moi. Parce que sa présence m'est devenue indispensable. C'est lui qui arrive à me calmer légèrement quand je suis pris d'une crise. C'est lui qui essaye de me protéger le mieux qu'il peut. Qui essaye de me faire bouger dehors. C'est lui qui est devenu une drogue pour moi. Sans lui je rechute. « Aaron ... » Je suis mort de fatigue. Je ne dors plus. Un an d'insomnie. « J'en ai marre. » Je sens ses bras. Et je m'accroche à lui, parce qu'une nouvelle fois j'ai éclaté en sanglots dans ses bras.
four years later. « Jounàs... » Ok. Rien que cette voix pleine de détresse m'a réveillé. Je me retourne pour voir un Aaron faible, en pleure et en panique dans ma chambre. Il est tard, quatre heures je pense. Je me lève d'un seul coup. « Aaron ? Aaron ! Qu'est-ce qu'il se passe ? » Je prends sa taille pour l'emmener contre moi. Je pose ma main dans ses boucles. Il tremble. Je sens sa tête dans mon cou, et vu comme il devient humide, je comprends très vite qu'il pleure. Je pose ma main sur son ventre. « Aie... » Ok, ça sent pas bon. Dans le genre pas bon du tout. « Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Aaron dit moi ! » Je l'emmène doucement s'asseoir sur le lit et j'allume la lampe de chevet. Et j'ai l'horreur de voir le visage d'ange de mon Aaron en mauvais état. « Je reviens. » Je sors discrètement de ma chambre pour aller chercher de quoi le soigner dans la salle de bain. « Bon, explique-moi maintenant. » Je m'assois sur le lit, je prends sa main que je caresse doucement avant de plonger mes yeux dans les siens. « Il m'a frappé... » « Ton père ? » « Thony. » Son petit copain. Je me fais violence pour ne pas prendre ma voiture et aller lui casser la gueule directement. Non encore mieux, le noyer. Non trop sadique, pas assez de plaisir à mon gout. « Pourquoi ? » « Je... Je n'en sais rien. J'ai voulu faire quelque chose de bien pour lui faire plaisir mais il est rentré une nouvelle fois bourré et... Ce n'était pas comme d'habitude, pire même. Il a commencé à m'insulter, et il m'a frappé. Mais genre sans cesse et j'ai cru à un moment qu'il allait me tuer. » J'ai pris tout mon temps parce qu'il avait du mal à parler. Il m'a montré ses blessures, puis il s'est jeté dans mes bras avant de s'endormir. Il était épuisé et il n'a pas bien dormi. Moi pas du tout parce que j'ai voulu le protéger. Quand il s'est mis à pleurer à un moment dans son sommeil, je l'ai bercé doucement. Quand il s'est mis à trop bouger, je lui ai glissé des mots apaisent dans l'oreille et c'est en l'observe dormir là, dans mes bras toute la nuit que je me suis rendus compte qu'il n'était pas n'importe qui. Il était aussi la personne sur qui je suis tombé amoureux.

« Fait attention à toi Jounàs. »« Mais oui maman. » J'ai enfin trouvé un travail. Mais dans le genre pas ici. Dans le genre que je quitte Portland pour m'installer à New york. Je serre ma maman dans les bras, puis mon père. Il me dit qu'il m'aime dans l'oreille et comme c'est très rare qu'il dise ça, je suis ému. Prendre un nouveau départ peut être bien pour moi. Mes sentiments pour Aaron sont horribles, mais j'essaye de les oublier. Partir loin de la ville où je suis né, ou j'ai vécu pendant mes vingt trois années de vie. Et tourner une bonne fois pour toute la mort de ma soeur. Je suis professeur de littérature. Aaron lui est parti il y a six mois. Il ne m'a jamais dit pourquoi, il m'a juste dit un mot dans un papier que j'ai retrouvé sur mon bureau. Et je lui en veux énormément pour ça. Alors refaire un nouveau départ et prendre mon envol ne peut que me faire du bien. « Je vous aime. » Un signe de main, et j'entre dans ma voiture. Je démarre, un coup de klaxon, et c'est parti. Liberté.

pseudo _tomo. □ âge entre quatoze et quinze. □ pays France. 5/7 □ avis sur le forum Il est vraiment magnifique. □ célébrité Louis lpb tomlinson little things. ∞ 2854805733

. □ un dernier mot little things. ∞ 1448172928

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à mon humble avis, louis est le plus bandant des one d.
bienvenue.

À mon humble avis, je suis plutôt d'accord (a).
Merci I love you

Bienvenue parmi nous.

bienvenue.

Bienvenue à toi ! I love you

Moi, je vote Niall. Mais Louis, il a ses cheveux qui rattrapent. little things. ∞ 312024731

Bienvenue parmi nous, courage pour finir (faire) ta fiche. I love you

bienvenue ici, monsieur d, et bon courage pour ta fiche.

Merci beaucoup tout le monde. little things. ∞ 2706441538

Niall est trop sex, comme les quatre, mais Louis l'est encore plus little things. ∞ 4058844158

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Monsieur d ? little things. ∞ 312024731

Entièrement d'accord avec vous.. Louis c'est LE PLUS SEXY FUCKING HOT BANDANT des 1D J'exige un super lien

Bienvenue sur le forum
& bon courage pour ta fiche