★ Pseudo : nelle ★ Célébrité : Max I. ★ Crédits : mattiejolie ★ Multinicks : soon ★ Messages : 48★ Âge : XXIX y.o ★ Statut : #mind your own business ( control freak, too self obsessed, cynical asshole) ★ Métier/études : the guy who wrote all the pop songs ? That's not him, obviously.
A track meet in my car Complicates what I told you The back beat in my heart Syncopates when I hold you. andrew belle — premrose@tumblr.
nom complet Roman. McLowe, circoncit pour des besoins administratifs obscurs en Lowe. Si vous vous attendez à ce qu'il vous explique pourquoi ce nom de famille précis ? Passez votre chemin, c'est un sujet qu'il refuse d'aborder et dont il n'a absolument rien à cirer. □ âge vingt neuf ans. Dont quinze en tant que fumeur, sept en tant qu'alcoolo notoire, huit en pratiquant de l'esprit de contradiction. Il en a facilement onze de moins pour draguer de la couguar. les soirées mélancoliques le guettent déjà, vieille branche désabusée au talent remis en question. □ date et lieu de naissance Londres. C'est tout ce que vous arriverez à lui arracher comme information, même google ne fait pas mieux.□ nationalité il a sa carte verte, gagnée à la sueur de son front, au jeu athlétique de ses neurones. Mais, il se considère fièrement anglais □ origines anglais, quoi d'autre ? Être français serait minable, américain : inauthentique, espagnol: un mensonge. □ statut matrimonial question confuse, next. Il évitera d'aborder l'amour qu'il lui a porté, qu'il lui portera à chaque fois qu'il écoutera une des compositions qu'elle lui aura inspiré, à chaque fois qu'il portera sur elle son regard. Il niera tout : des palpitations aux vagues dans ses genoux, aux changements d'humeur. comme une gravure sur le cœur jouant les Ouroboros. Omnia Vincit amor. Il finira par le comprendre un jour.métier/études auteur - compositeur de musique pop. De la pop ce à quoi il a été réduit après avoir été congratulé dans des domaines classiques. Le monde entier n'est constitué que de fayots capitalistes et, voyez-vous, il leur pisse allégrement à la raie. □ statut monétaire fauché toutefois il préfère encore vendre jusqu'à son dernier meuble qu'avoir à demander l'aide de ses rupins de parents. mourir serait une solution envisageable face à un orgueil blessé □ groupethe beavers.
♡ Elle – il laissera ce mot lui plier le corps, retourner son cerveau, saccager son existence. Elle est là, insidieusement planquée, enfoncée en profondeur, un leurre. Elle, elle lui permet de vivre, elle lui permet de dire. D'écrire la liberté, la murmurer du bout des lèvres, l'aimer. Elle. Elle est l'habit, l'ennui des décorums. Le faste et la faim. Un vertige comme un rien, qui lui soulève inlassablement le cœur. Elle. L'inspire. Il l'expire, il crachote tout ce qu'elle lui fait subir déversant comme les vagues, de son vague à l'âme, des nuitées plongées dans la peur. ♡Il aimerait. Rien. Et puis, tout. Qu'un idiot invente une machine qui remonterait le temps. Qu'il la lui offre, qu'il s'en serve. Roman, tout ce passé sur lequel il a plein de regards à jeter. Plein de regards à abandonner. Il aimerait , Roman, réussir sa vie, comme il l'a, il y a bien longtemps, rêvé. Il aimerait la récupéré, pas seulement elle mais sa renommée. Evoyer chier cordialement tous ceux qui ont douté. Doute que les étoiles soient de feu, Doute que le Soleil se meut, Doute que la vérité mente elle-même Mais ne doute pas que je t'aime.Shakespeare ♡L'oubli. Qu'on ne voit plus en lui qu'un abyme sans fond. Qu'une imposture. Qu'une ordure. Que l'ombre de ce qu'il aura été. Roman, il est incapable de reconnaître ses fautes, incapable de tirer un trait. Roman, il craint la crainte elle-même. Celle d'être dépossédé de ce qu'il a de plus cher. son identité musicale. ♡La dépendance. Il milite, à sa façon, Roman. Contre les historiettes, les peines de cœur. La mort par chagrin. Rom ment. Il n'a rien de romanesque, rien de marchand de rêve. Il ne dépense pas un seul centime, pas un seul gramme de sa personne. Il est l'égoïste qui se clame altruiste qui se fourre le doigt dans l'oeil. L'indépendance – et être seul. La solitude, il exècre. ♡Des numéros, ces contacts, ces hypocrites qu'il salue poliment du majeur. Des messages qu'il n'a jamais eu la foi de supprimer, pas le courage, l'attitude lâche du mec menotté par l'inclinaison aigre-douce du passé envers sa si modeste personne. Ses erreurs criardes. Des textes venant d'Elle. Puis d'eux. De lui. Des attaques éclairs sur sa gueule lancées, lors des nuits d'encre, du sommeil délestées. Des photos, aussi. Des applications dont il se demande la fonction, foutues là par son petit frère. Son portable lui sert à socialiser et, il se rend compte que ce n'est pas toujours de la meilleure manière plutôt de celles qui filent des regrets.
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Partir en weekend à Marnieland. Marnieparadis. Lui faire quelques confidences puis disparaitre.puis revenir † Bass est sa pierre angulaire † les crimes qu'il commet, sa rage qui s'exprime lorsqu'il immole les partitions , ses idées noires crèvent avec. † Roman, il a passé plusieurs nuits en taule pour avoir pété les plombs : rixe, foutre le feu à un piano, jeter une poubelle sur la devanture d'une maison de disques la liste est longue, celle-ci est non exhaustive † la musique pop qu'il exècre mais, il faut bien qu'il ait de quoi s'acheter l'alcool qu'il boit pour se réhydrater † les cigarettes † l'ivresse des interdits qui empire au fur et à mesure que le temps fuit † ses parents si confus, si obtus, si coincés dans leurs mondanités et le jeu des convenances † la perte , il ne veut pas, Roman perdre quoique ce soit † le chien qu'il a recueilli et dont il ne sait pas s'occuper correctement
pseudo pas de pseudo, call me nelle □ âge question suivante □ pays gaule Pour la connexion. □ tous les joursavis sur le forum beaugossitude □ célébrité Max Irons □ un dernier mot LOVEL
Dernière édition par Roman Lowe le Sam 20 Déc - 12:58, édité 24 fois
Roman Lowe.
★ Pseudo : nelle ★ Célébrité : Max I. ★ Crédits : mattiejolie ★ Multinicks : soon ★ Messages : 48★ Âge : XXIX y.o ★ Statut : #mind your own business ( control freak, too self obsessed, cynical asshole) ★ Métier/études : the guy who wrote all the pop songs ? That's not him, obviously.
« Tu veux que je te dise ? Le monde peut bien s'écrouler sur lui-même, le soleil décider de ne plus se lever, les oiseaux de ne plus chanter, la pluie s'abattre perpétuellement au dessus de nos têtes...je ne bougerai pas le moindre petit doigt » - il s'élance, il se rate, il tombe et la chute se tape des allures d'infini. La tristesse est une compagne indésirable qui de ravisseur est devenue alliée, syndrome de stockholm, de toute évidence. Il inspire bruyamment, passant une main dans ses cheveux, frottant son visage, il a les paupières lourdes des regrets accumulés, de la frustration qui le chahute si violemment qu'il en saignerait. « Ras le bol de donner et de ne rien recevoir que des critiques, des critiques, des crit- » il s'immobilise, Roman, dans une grimace abjecte. Les traits déformés lui donnent des allures de vieux mal en point. La jeunesse a fui son visage, lui, qui semble avoir pris dix putains d'années d'un seul coup. « Pose cette bouteille » l'impératif, il résonne dans l'air, les ondes viennent contre ses tympans s'agripper. La couleur est donnée, elle est balancée sur sa fiole avec la dextérité d'un artiste peintre. Sauf qu'il tiendrait plus d'un Picasso que d'un Matisse. « Tu veux que j'abandonne une extension de mon bras, en quel honneur, frérot ? » - en l'honneur de rien, du jour qui se lève, de la nuit qui tombe, du ciel et de la terre , des certitudes paumées. A quoi bon se lever, à quoi bon abandonner, à quoi bon ? Il se perd, Roman, il se désespère. Il accapare l'énergie de ceux qui tiennent à lui, refuse celle des autres. Il se refuse, lui, surtout. Il se lève, titube, les éclats de rire se brisent comme des éclats de verre à en taillader la peau. Il s’écœure, Roman, l'ancien était auréolé de gloire alors qu'à cet instant, seule la lumière réverbérant depuis l'extérieur vient agoniser sur son visage. Un sourire triste lui vrille les lèvres, il a les yeux qui pétillent, luisent de cette conscience pleine et entière, celle d'être un raté, entouré de ratés , celle de se complaire pitoyablement dans la fange dans laquelle il baigne. Il s'y noie, il se noie surtout dans le liquide ambré dont il boit une lampée. Deux, trois, quatre, dix pas le séparent du piano, il les avale, les mètres si effroyables, il foule le parquet d'un pas lourd. Il s'installe, face à son instrument, il a la tête prise dans un étau. « Tu te souviens de mon premier succès ? » - cette chanson, classée en haut des charts. Cette mélodie suave embellie par le jeu d'instruments à vent. « Tu te souviens de ces ovations et de la grandiloquence de mes discours, des saluts vite enterrés par les huées vomitives ? ». Il parle comme ceux qui ont subi les affres de la vie, les pluies de désillusions, comme ceux qui ont vécu, qui ont tenu et qui ont , comment là est la question, fini par renoncer. « Elle , elle a fait comme eux ». Mattie ou celle dont on ne doit jamais prononcer le nom. Il en parle comme d'une calamité, comme d'une catastrophe comme d'une pluie de météorites venue foutre en l'air sa vie. Les désirs violents ont tous de violentes fins, il le disait aussi, ce maudit shakespeare. « Voilà où j'en suis rendu, écrire des chansons de merde pour des branleuses fardées comme des camions volés, gaulées comme de vulgaires péripatéticiennes ». Il déglutit et joue la première note. Puis la seconde puis, retrouve la mélodie. Il la sent à travers ses os, elle traverse les parcelles de sa peau, l'étreint tout entier. Song of broken hearts. Six ans plus tôt, jamais il n'aurait pensé qu'elle ait pu aussi bien décrire l'homme qu'il est désormais devenu. Song of a piece of shit...with a broken heart, plutôt. De sa poche, il sort son précieux briquet, celui qui l'aide à achever ses démons. Il y a cette flamme qui lèche le bout de sa merveilleuse sèche, il inspire et, comme un dragon, recrache la fumée. Avec cette nonchalance innée qui lui vaut tant de griefs. Le sourire bandit discorde ses lèvres, sourire d'ange des ténébres : «De profundis clamavi » souffle-t-il, car il ne fait plus que crier, Roman, désormais, il hurle depuis les profondeurs de l'abime. Seulement, personne n'est là, pour l'écouter.
Dernière édition par Roman Lowe le Sam 20 Déc - 13:41, édité 10 fois
Qu'il est beau, et sur ton avatar plus intriguant encore. Bienvenue, je te réserve le monsieur pour une semaine.
Roman Lowe.
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Si tu as besoin de lien pour consolider ton personnage.
Roman Lowe.
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Qu'il est beau Max. Bienvenue parmi nous. Je viens de voir que tu avais mis un de mes avatars, merci beauuuucoup.
Roman Lowe.
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Oh mais non, tu ne peux pas me faire ça, ta jolie plume, et. Viens on dit qu'on efface tout ça et qu'on recommence à zéro, Mattie ne le quittera plus jamais, son Roman. Je te valide.
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from a glimpse
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