❞ so wake me up when it's all over

Maybe I wasn't good enough to blow your mind, you know I've tried. — crédits@anaëlle.

nom complet Hemmings. Oh non, rien de bien prestigieux. Nous ne sommes pas riche comme crésus, juste une famille normal. Ma famille. Je suis très fier de porter ce nom-là. Aaron. C'est ma mère qui a choisi mon prénom, il paraît qu'elle avait toute une liste, qu'elle attendue que je sois né et qu'elle m'a cité tous les prénoms qu'elle aimait bien. J'ai ouvert les yeux pour la regarder à Aaron. En fait c'est moi qui ai choisi quoi. □ âge Vingt et un an. Et toute mes dents. Enfin majeur dans ce pays de dingue. La liberté quoi. □ date et lieu de naissance Je suis né à New-York, le 23 avril 1993. □ nationalité Américain, né et élever à New-York, je n'ai même jamais quitter le pays. □ origines Américain pur sang. Enfin, il paraît qu'il y a des origines Irlandaises aussi du côté de mon paternel. □ statut matrimonial Célibataire. Par choix. Enfin plus ou moins. J'ai des sentiments pour un jeune homme, mais je préfère que cela reste enfoui bien au loin.. métier/études Je suis étudiant en technique de cinéma. Je voudrais travailler dans le monde du cinéma et il paraît que j'ai un don pour cela. Je me donne a 100% dans mes études et je fais pratiquement que cela d'ailleurs.. □ statut monétaire On ne va pas dire que je roule sur l'or, mais je ne bataille pas pour finir le mois non plus. Donc ça va. □ groupe the rabbit.

♡ Peur. En ce moment, je crois que c’est réellement mon mot préféré. C’est la chose qui rythme ma vie. Cela fait pratiquement un an que je vis dans la peur. J’avais peur que Thony craque et lève la main sur moi et maintenant j’ai peur qu’il me retrouve et qu’il me frappe à nouveau. Je passe mon temps à avoir peur. Peur pour ma vie, peur pour ma famille, peur des autres, peur de mes sentiments, peur de ne pas être assez bien, peur d’échouer. Je me cache derrière ma peur et cette dernière finira par avoir raison de moi.
♡ Il y a tellement de choses que je souhaiterais voir arriver dans ma vie. Je souhaiterais revenir en arrière et ne jamais succomber au charme de Thony. Je souhaiterais retourner auprès de Jounàs et lui avouer mes sentiments. Je souhaiterais que ma soeur puisse entendre le son de ma voix. Je souhaiterais arrêter d'avoir autant peur de vivre. Je souhaiterais abandonner mes crises d'angoisses. Je souhaiterais que ma vie ne ce soit pas déroulé comme cela.
♡ Ma peur numéro une est de perdre tous ceux que j'aime. J'ai dû faire des choix dans ma vie qui m'ont éloigné de ceux que j'aime plus que tout au monde et j'ai du mal à vivre avec cela. J'ai peur de m'être éloigner et de ne jamais revoir ceux qui me tiennent tant à coeur. Je crois que cela m'achèverait des les perdre. Réellement.
♡ J'ai peur d'être enfermer dans un endroit clos. Je suis déjà facilement sujet aux crises d'angoisses, mais c'est encore pire quand je me retrouve enfermer dans un endroit sans fenêtre et sans issue. Un jour je suis resté dans un ascenseur pendant près de deux heures et je crois que cela m'a totalement traumatisé. Je suis même incapable de dormir dans le noir et avec les volets fermer jusqu'en bas. J'ai la sensation d'étouffer et je panique.
♡ Je crois que mon portable contient toute ma vie. J'ai surtout beaucoup de photos enfermé dans ce petit objet. Des photos de famille, un million de seflie prise avec ma petite soeur et de nombreuses photos en compagnie de Jounàs. Ce sont des clichés que je chéris et que j'ai besoin de consulter régulièrement pour me sentir bien. J'ai également conservé quelques messages que j'avais pu échanger avec Jounàs ou avec ma maman. Je conserve tout ce qui me tient à coeur là-dedans, je ne sais pas trop ce que je ferais si je perdais mon téléphone.
____________________Assis au milieu de mon lit, j'attends sagement que maman vienne me dire bonne nuit. Quand elle ouvre la porte elle semble surprise de ne pas me voir sous la couette. « Qu'est-ce que tu fais encore debout mon grand ? » Je fronce un peu les sourcils et finalement maman viens s'asseoir à côté de moi et passe une main dans mes bouclettes. « Pourquoi Leah elle ne parle jamais et quand je l'appelle elle m'écoute pas du tout ? » Cette fois c'est maman qui fronce les sourcils et j'ai l'impression d'avoir dit une bêtise alors je me dandine un peu sur le matelas plus vraiment sûr de vouloir parler de cela. Pourtant, je voudrais savoir. J'ai six ans, je voudrais juste jouer avec ma soeur parfois comme tous mes copains, mais elle m'écoute jamais et des fois moi ça me rends triste parce que j'ai jamais rien dit de méchant à Leah. Je tire un peu sur mon pyjama et maman m'attire sur ses genoux pour qu'on puisse faire un câlin. « Mon chéri je sais que ça va être un peu dur à comprendre, mais si Leah ne te réponds pas, c'est parce qu'elle ne peut pas t'entendre. » Surpris, je me redresse pour regarder maman et voir si elle rigole. Pourtant, elle a les sourcils froncés comme quand je vais me faire disputer parce que j'ai fait une bêtise ou qu'elle veut me dire quelque chose de très très sérieux. « Ca veut dire que même si je cris elle n'entend pas ? » Maman hoche la tête pour approuver et moi je comprends plus rien du tout. « Mais elle a des oreilles Leah et la maîtresse elle a dit que c'est avec les oreilles qu'on entend ! » « Je sais mon coeur, mais les oreilles de ta soeur sont cassés et elle peut pas entendre. » « Mais. C'est nul ! » Maman me fait un petit sourire et je comprends qu'elle est un peu triste que les oreilles de Leah soient cassé. Elle essaye de mieux me faire comprendre en me disant de me boucher les oreilles très très fort, elle me parle et je n'entends rien du tout. Alors, Leah nous voit parler, mais elle peut pas entendre. Soudainement j'ai juste envie d'aller me faufiler dans la chambre de ma petite soeur pour aller lui faire un gros câlin et lui montrer que je lui en veux pas de pas me répondre parfois. Je continue à me coller à ma maman tout en réfléchissant très vite. Papa il m'a dit que quand on a un problème il y a toujours une solution alors pourquoi ça ne marcherait pas avec Leah ? « Dit maman ? Si je suis très très très sage et que je fais jamais de bêtise, tu crois que le père Noël il pourrait amener des nouvelles oreilles à Leah ? » Mais je crois que j'ai dit une bêtise parce que maman c'est mis à pleurer et finalement c'est papa qui m'a dit d'aller me coucher et de plus embêter personne avec mes questions.

Je suis tombé en cours de sport et je me suis fait un bleu de la taille d'un poing juste sous l'oeil. Je voulais juste rattraper le ballon que Aiden m'as envoyé, mais je suis tellement maladroit que mes jambes ce sont emmêlés et je me suis pris le mur en pleine tête. Bien entendu cela a fait rire tout le monde, moi inclus, jusqu'à ce que je commence à sentir la douleur. Résultat je suis rentré à la maison complètement amoché et quand je me suis retrouvé nez à nez avec Leah elle a totalement paniqué. Elle sait que je ne suis pas spécialement populaire au Lycée, en effet je n'aime pas me mêler à la foule et j'ai tout de suite été catalogué dans la série 'intello'. Je suis tellement discret que de toute manière après mes quelques copains personne ne s'intéresse à moi et je crois que ça me va bien. Pourtant, ma soeur à constamment peur que je me fasse embêter dans les couloirs. C'est déjà arrivé quelquefois depuis que l'on est à Portland et c'est toujours à Leah que je me suis confié. Aujourd'hui elle panique totalement et elle parle tellement vite dans sa langue que je comprends absolument rien. J'ai appris le langage des signes il y a longtemps déjà pour communiquer avec elle, mais parfois elle va trop vite pour moi et je n'arrive plus à me concentrer. « Je vais bien, je me suis fait ça tout seul. » signais-je pour la rassurer. Elle me met une tape derrière la tête avant de signer : « Me dis pas de connerie ! » Un petit sourire se dessine sur mes lèvres et je m'approche de ma petite soeur pour la prendre dans mes bras et la rassurer. « Je t'assure que c'est vrai. Ca va ! » Je sais pourquoi elle s'inquiète. Parce que j'ai osé avouer que je suis homosexuel et que depuis le comportement des autres à changer envers moi. Pourtant, je m'estime chanceux, je ne suis pas vraiment mal traité au Lycée. Juste taquiner de temps en temps. Ca me passe au-dessus et puis j'aime pas quand Leah s'inquiète autant pour moi. Mais quand elle me signe : « Je t'aime grand frère. » J'ai presque envie de fondre en larmes. Je la prends de nouveau dans mes bras et on s'organise une petite soirée juste entre nous. On a un lien totalement fusionnel tous les deux et il y a rien que je ferais pas pour elle. Même si je ne crois plus au Père Noël j'espère toujours trouver une solution pour qu'un jour elle puisse entendre le son de ma voix. Elle ne dit jamais rien, mais je sais que parfois elle aimerait réellement nous entendre rire ou l'appeler. Je me suis promis qu'un jour elle regrettera d'avoir tellement voulu entendre le son de mon rire tellement je vais la soûler avec cela.

Ce soir je dois rejoindre Jounàs chez lui. Je l'ai connu il y a presque un an de cela lors de ma première et dernière séance chez le psy. Après ma première année de Lycée, je me suis totalement renfermer sur moi-même parce que tout le monde me traite de 'tapette' à l'école et pour éviter de me sentir blesser je me suis coupé du reste du monde. Je me suis renfermer dans mon travail et dans la mise en scène de mes petits films - ma passion. Maman a cru que je faisais une dépression et m'as traîné chez ce psychologue à la noix. Malgré tout cela m'a permis de faire la connaissance de Jounàs. Depuis on est devenu inséparable. Il est totalement abîmer après le décès subit de sa soeur, il est brisé en milles morceaux et pourtant on a tout de suite établis un véritable lien tous les deux. Je passe souvent le voir après le Lycée et aujourd'hui je suis carrément en retard. C'est la mère de Jounàs qui m'ouvre la porte et lorsque j'aperçois ses larmes je commence tout de suite à m'inquiéter. Elle me dit que je devrais rentrer chez moi, j'allais protester, mais un hurlement me coupe dans mon élan. Un hurlement, un bruit sourd et d'autres cris encore. Il me faudra que quelques secondes pour comprendre que Jounàs est en train de faire une de ces crises de violence. Cela lui arrive souvent, je n'ai assisté qu'à quelques-unes, toujours en spectateur, mais aujourd'hui entendre son hurlement m'a fait froid dans le dos et je sais que je peux pas le laisser se battre tout seul. Je pousse un peu sa mère et monte les escaliers quatre par quatre. Quand j'arrive dans la chambre de Jounàs, je m'arrête deux secondes sur le seuil. Il a retourné la moitié de la pièce et il hurle sur son père tout en s'agitant dans tous les sens. Je vois bien que son paternel ai perdu et n'ose pas maîtriser son fils quand il me voit il se décale quelque peu et soudainement Jounàs me hurle dessus : « SORS D'ICI AARON ! » Je respire un bon coup et entre dans la pièce. J'approche mon ami tout doucement sans le lâcher des yeux. Il s'agite encore et retourne son bureau d'un seul coup. Je sursaute un peu, mais arrive enfin vers lui et d'un mouvement sec emprisonne ses poignets entre mes mains. L'espace de deux secondes son regard croise le mien, je l'ai jamais vu autant en colère, il déteste le monde entier à l'heure actuelle, mais pire que cela il se déteste lui-même et ça me fait tellement mal au coeur de le voir dans cet état. Il se débat sous mon emprise, il lutte, il hurle, il tente de se dégager. Mais je ne le lâche pas et je lui parle doucement : « Crie si t'en as besoin. Je suis là. Je ne te laisserais pas Jounàs. Je suis là... » Je ne sais pas combien de temps s'écoule sans qu'il ne cesse de se débattre contre moi, a un moment son poignet m'échappe et il commence à me pousser. Il me pousse et je finis par le prendre entre mes bras. Ses poings s'abaissent sur mon torse sans jamais me faire mal, il lutte encore quelques minutes et finis par fondre en larmes dans le creux de mes bras. « Ca va aller Jounàs. Je suis là. Ca va aller. » Tout doucement je l'entraîne vers son lit qu'il a épargné durant sa crise, je m'assois dessus et pose mon dos sur la tête de lit tout en faisant glisser Jounàs entre mes jambes. J'enroule mes bras autour de lui et je le berce doucement sans jamais cesser de lui parler. Il se calme doucement et totalement épuiser par sa crise, il finit par s'endormir. C'est seulement à cet instant que je remarque ses parents sur le seuil de la pièce. Sa mère pleurs encore, elle s'approche de nous, embrasse tendrement son fils sur le front et plonge son regard dans le mien : « Merci Aaron. » Je lui offre un petit sourire et ne lâche pas Jounàs. Je n'aurais rien dormi cette nuit-là. On n'a jamais reparlé de cette crise, mais j'ai été présent pour toutes les autres après cela.

« TU ETAIS OU ? » Je sursaute en entendant Thony hurler de cette manière. Je n'aime pas quand il me parle comme cela. Cela fait deux ans que l'on est ensemble. Deux ans que je l'aime comme un dingue, pourtant depuis quelques semaines rien ne va plus entre nous. Il s'est disputé avec ses parents à cause de ses études et surtout il a rencontré ces mecs un peu bizarre et depuis il fume beaucoup de joints et surtout il boit. Cela va faire trois mois qu'il boit et c'est de plus en plus important. Visiblement ce soir il a encore pas mal abusé et comme je suis en retard, je sais qu'il va s'en prendre à moi. « Je révisais avec des gens de ma classe on a un examen important demain. Je te l'ai dit ce matin. » A cet instant précis, je crois que j'aurais mieux fait de me taire. Thony m'as foncé dessus et m'as plaqué contre le mur de la cuisine en hurlant : « Me raconte pas de conneries Aaron ! » Je l'ai jamais vu comme cela. Il me fait penser à Jounàs lors de ses crises de colère, mais contrairement à mon ami Thony me fait peur. Vraiment peur. J'essaye de me justifier, mais j'arrive juste à bégayer et avant de comprendre quoique ce soit Thony me met une gifle. Il a été déstabilisé par son geste et j'en ai profité pour m'enfuir. J'ai fui l'appartement pendant trois jours sans rien dire à personne, j'ai juste dormi chez Jounàs prétextant qu'il n'allait pas bien en ce moment. Je pensais que cela ne se reproduirait jamais alors je suis retourné dans les bras de l'homme que j'aime. J'aurais dû me méfier.

Cela faisait longtemps que je remettais mon couple en question. D'une parce qu'il y a trois mois Thony à lever la main sur moi pour la première fois et que depuis il est violent et méchant avec moi, mais surtout parce que depuis quelques temps je me rends compte que oui j'aime mon copain, mais surtout je crois que je ressens plus que de l'amitié pour Jounàs. Je pensais être le seul à avoir remarqué cela. Je m'étais mis le doigt dans l'oeil. Il est quatre heures du matin et c'est en essayant de gérer ma crise d'angoisse que je me glisse dans l'appartement de Jounàs. J'ai le sentiment que je vais m'écrouler. Il y a moins d'une heure Thony m'as fait la crise du siècle. J'avais encore passé du temps avec Jounàs, visiblement trop selon mon petit ami. Il avait bu. Il a perdu le contrôle. Il a commencé par m'insulter, doucement, mais de plus en plus durement. J'ai essayé de répliquer et là il a commencé à me frapper. Tellement fort que j'ai perdu connaissance l'espace de quelques minutes. Je ne vois plus rien de l'oeil gauche et je me demande encore comment j'ai réussi à venir jusqu'ici. Je crois que Thony avait fuit l'appartement. Je m'en serais pas sorti aussi facilement sinon. Jounàs est profondément endormi dans son lit et j'hésite à le réveiller, il a tellement de problèmes déjà et il dort difficilement, je veux pas lui rajouter mes soucis sur le dos. Pourtant, ce soir rien ne va et j'ai besoin de lui...« Jounàs ? » Il n'a même pas le temps de me prendre dans ses bras que je fonds en larmes. J'ai du mal à respirer, je tremble de la tête aux pieds, j'ai mal de partout, j'ai envie de mourir. Tout de suite, Jounàs prends soin de moi, il met de la crème sur mes bleus et surtout il me prend dans ses bras pour me murmurer des phrases rassurantes. Il me berce et dans le creux de ses bras je me sens en sécurité et finis par m'endormir à bout de force. En me réveillant, je me retrouve nez à nez avec un Jounàs plus fatigué que jamais. Je me sens mal et je sais que je ne vais pas échapper à une longue conversation. « C'était pas la première fois, c'est ça ? » Je n'ai même pas le temps de lui répondre que je me mets à pleurer de nouveau. Finalement, je me suis confié à lui, je n'ai pas tout dit, mais je lui ai dit que Thony m'as souvent manqué de respect et que oui ce n'était pas la première fois qu'il levait la main sur moi. Ce jour-là on a inversé les rôles tous les deux. C'est la seule fois où je me suis autorisé à être faible face à lui.

Je prends appui contre ma porte d'entrée et m'écroule sur le sol. Je respire de plus en plus mal et je sais que je dois me calmer avant de faire une crise d'angoisse. Je fixe le mur en face de moi et tente de prendre de profonde respiration. J'ai les mains qui tremblent et je ferme les yeux rien qu'en pensant à la raison de cette crise. En six mois ma vie à changer du jour au lendemain. Après sa crise j'ai revu Thony une fois, le jour où je suis allé chercher mes affaires à l'appartement et il m'a menacé. Pas juste un peu comme avant, non ce jour-là il m'a foutu la peur de ma vie. Il m'a dit que si je le quittais, il me chercherait de partout ou pire qu'il s'en prendrait à ma soeur ou à Jounàs pour me faire payer de l'avoir quitté. Il m'a dit qu'il m'aimait comme un dingue et que je devais pas l'abandonner. J'ai eu peur et je suis vite rentré chez mes parents. Pourtant, Thony ne c'est pas arrêter. Il m'a harceler par message et un jour je l'ai retrouvé devant chez nous a essayé de parler avec Leah. Ce jour-là j'ai compris qu'il ne rigolait pas et que si je ne retournais pas avec lui il ferait du mal à ceux que j'aime. J'ai longtemps paniqué et puis j'ai reçu une lettre d'une école de cinéma qui acceptait ma candidature à New-York. J'avais tellement peur que je n'ai pas réfléchis, j'ai accepté et je suis parti sans rien dire à personne. J'ai laissé un simple mot d'excuse à Jounàs et je suis parti. Je sais que j'aurais dû le prévenir, mais je ne voulais pas qu'il sache, je ne voulais pas qu'il souffre de mes problèmes et j'ai pris peur des sentiments que j'ai pour lui. Alors, j'ai été lâche... J'ai emmené ma soeur avec moi et j'ai recommencé à ma vie à New-York, c'était dur - très dur - loin de Jounàs, mais je m'en sortais bien. Jusqu'à il y à une heure. J'ai reçu un message de Thony... Il m'a dit qu'il me cherchait et qu'il finirait bien par me trouver. Et j'ai peur. Peur qu'il cherche Jounàs et qu'il s'en prenne à lui. Je m'étais donné un an avant de retrouver Jounàs et d'essayer de me faire pardonner. Je pensais qu'en un an Thony m'aurait oublié. Je me suis mis le doigt dans l'oeil. J'ai peur qu'il fasse du mal à mes parents, à Jounàs ou pire qu'il me trouve ici. Il serait capable de me tuer juste parce que je l'ai quitté. Alors, je panique. Je commence à voir flou, mais j'arrive à voir Leah qui se précipite vers moi. Elle me prend dans ses bras et me serre fort contre elle. Après de longues minutes-je finis par me détendre un peu, mais je continue à avoir peur. « Aaron tu devrais appeler Jounàs. » me signe ma petite soeur et je me remets à trembler. Jounàs me manque tellement. La nuit je l'appelle dans mon sommeil, parfois je me tourne dans mon lit et je cherche ses bras quand je me rends compte qu'il n'est pas là je fonds en larmes. Pourtant, je sais que je ne suis pas assez bien pour lui et qu'il n'a pas besoin de m'avoir dans sa vie... Il me manque, mais j'essaye de vivre avec.

pseudo pain d'ep. □ âge 21yp. □ pays USA babe. 5j/7. □ avis sur le forum j'ai eu un coup d'coeur pour le design ❞ so wake me up when it's all over 3060952128

□ célébrité harry styles ❞ so wake me up when it's all over 2854805733

. □ un dernier mot ❞ so wake me up when it's all over 432065468

héé, bienvenue sur le forum & bonne chance pour la compétition. si on peut t'aider avec quoi que se soit, n'hésite pas.

Bienvenue parmi nous I love you

Bienvenue et bonne chance pour la compétition ❞ so wake me up when it's all over 184056490

Bienvenue joli garçon. ❞ so wake me up when it's all over 2078597609

❞ so wake me up when it's all over 1831752649

Merci, vraiment merci beaucoup, beaucoup. ❞ so wake me up when it's all over 2854805733

❞ so wake me up when it's all over 1644040817

La compétition s'annonce très dur ❞ so wake me up when it's all over 3587747087

, alooors bonne chance et franchement merci. ❞ so wake me up when it's all over 2421699411

Si tu as besoin, n'hésite pas à m'envoyer un message privé. Et bonne chance pour ta fiche de présentation. ❞ so wake me up when it's all over 667360382

❞ so wake me up when it's all over 2706441538

bienvenue parmi nous and good luck baby.

Petit bouclé. ❞ so wake me up when it's all over 3587747087

Bienvenue. I love you

Bonne chance pour la compétition. ❞ so wake me up when it's all over 2078597609

un deuxième styles

bienvenue

❞ so wake me up when it's all over 312024731

Merci à tous pour cet accueil chaleureux ❞ so wake me up when it's all over 2854867048

Jounàs - dieu que j'aime l'originalité de ce prénom - j'espère que je serais à la hauteur, j'ai tout un tas d'idée pour ma fiche. J'ai vu que le second Aaron avait déjà bien avancer alors je vais me dépêcher pour pas trop vous faire attendre ❞ so wake me up when it's all over 1893567783

❞ so wake me up when it's all over 1893567783

Merci, j'avoue que Jounàs est un prénom que j'aime beaucoup. I love you

Ne t'inquiète pas pour ça, j'ai hate de lire l'histoire de ton Aaron. ❞ so wake me up when it's all over 1448172928

Merci beaucoup en tout cas. ❞ so wake me up when it's all over 2854805733

bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche ainsi que pour le scénario.

Blake Lively est tellement belle ❞ so wake me up when it's all over 2421699411

Sinon j'ai fini ma fiche et je croise les doigts ❞ so wake me up when it's all over 1893567783

en attendant le choix final, nous avons qu'une seule demande: serait-il possible que tu revises ta fiche pour supprimer les fautes d'orthographe, s'il-te-plait?

J'ai relu mon texte et je l'ai passer sous BonPatron, donc ça devrait être bon I love you

Pour moi c'est bon, vous pouvez valider. ❞ so wake me up when it's all over 4058844158

merci aaron et félicitations pour le rôle. maintenant que le stress s'envole, profite bien de sog.