nom complet brunehilde anne-kelly allen □ âge vingt-cinq ans. □ date et lieu de naissance vingt-six novembre mille neuf cents quatre vingt neuf. □ nationalité américaine. □ origines américaine. □ statut matrimonial célibataire depuis peu. métier/études brune est médiatrice culturelle. □ statut monétaire brune est la cadette d'une des familles les plus riches de manhattan. □ groupe beavers.
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éclectique. ne pas se rattacher à une idée mais à plusieurs, ne pas s'enfermer dans un cocon mais savoir être le papillon qui en sort. Brunehilde aime l'idée de nuancer avec milles teintes d'une ou plusieurs couleurs son quotidien et ses inspirations. Créative elle a besoin d'un perpétuel renouveau, de changement et de nouvelles influences. Sa soif de savoir, son intarissable appétit pour de nouveaux mouvements est sa grande qualité comme son plus grand défaut.
♡ Elle aimerait assumer, enfin, ce qu'elle ressent vraiment. Elle aimerait arrêter de fuir devant toutes les décisions qu'elle doit prendre. Elle a envie d'absolue, de grandeur et de passion. Elle aimerait ne plus vivre dans l'ombre du nom de ses parents. Elle aimerait, sans se l'avouer, s'accomplir.
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La peur de soi. Brunehilde a peur de ce qu'elle est, de ce qu'ell pourrait être. Elle est prise au piège dans un éternel tourbillon qui la tétanise dès qu'elle doit se retrouver à prendre une décision. Incapable de se mettre à nu, elle a déjà perdu ce qu'il lui était de plus cher, Elliot. A trop vouloir se protéger de ce que l'on est on finit par oublier qui nous sommes.
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Le vertige. Brunehilde est paralysée face au vide, elle est incapable de se pencher à une rambarde en haut d'un immeuble, et a du mal à redescendre d'une échelle une fois qu'elle y est montée. Elle pourrait vous insulter de tous les noms si vous la forciez à affronter sa peur.
♡ Son téléphone est rempli d'applications dont elle ne se sert quasiment jamais. Des milliers de mails et sms non lus, une dizaine d'appels manqués.. Et puis on y trouve des photos, un tas de photos. Des photos des pays dans lesquels elle a eu l'occasion de passer durant ses dernières années. Des photos de couchés de soleil les pieds dans l'eau, des photos de paysages blancs immaculés, des photos d'enfants émerveillés, des photos de marchés où les couleurs des épices s'entrechoquent en un feu d'artifice distingué, et puis des photos de
lui.
____________________On a beau fuir, on a beau s'échapper à l'autre bout du monde. On a beau se convaincre tous les matins qu'on est heureux. On a beau enfermer son passé dans une boite à double tour, il finit toujours par nous rattraper. Elle pensait qu'en fuyant, elle parviendrait à oublier et que de cette manière elle réussirait à conserver les choses en état, sans rien briser. Elle s'était persuadée que tout serait plus facile. Moins douloureux. Elle avait tout faux. Ces démons valsaient autour d'elle chaque nuit dans son sommeil. Et lorsqu'elle déposait sa tête sur l'épaule de celui avec qui elle avait décidé de partir, elle s'imaginait sentir son parfum.MELBOURNE, NOVEMBER 2014Le soleil traversant les stores vient doucement la réveiller. Un soupire. Elle ouvre sans trop tarder les yeux, et l'aperçoit paisiblement endormi en face d'elle. Son visage est empreint d'un bien être qu'elle n'est jamais parvenue à comprendre. Le soleil illumine sa chevelure blonde, et brunehilde ne peut s'empêcher d'y glisser tendrement sa main. Faire semblant. Ce matin elle n'ira pas travailler, ce matin elle va rester là. Allongée, à le regarder dormir en s'imaginant leur avenir. Pourquoi avait-elle décidé de partir avec lui il y a quatre ans, avec cet homme qu'elle connaissait à peine? Elle perd son regard sur son son visage, des plis à peine visible aux coins de ses yeux, ses lèvres légèrement entrouvertes. De longues minutes s'écoulent alors qu'elle l'observe, se remémorant tous ces souvenirs aux quatre coins du monde qu'elle partage avec lui. Elle se souvient encore de la première fois où il lui a passé sa main dans ses cheveux, de sa façon de lui tenir tête lorsqu'il avait tord mais qu'il ne voulait pas l'avouer, son courage face à l'inconnu, et sa force aussi. C'est alors qu'une larme roule doucement le long de sa joue, ce n'est pas une larme de tristesse ni un larme de joie, pourtant c'est une larme sincère. Il se réveille doucement, ouvrant les yeux avec difficultés pour les plonger dans le regard de brune. Son visage pourtant si paisible se crispe tout à coup, comme s'il avait déjà compris. Elle lui caresse tendrement la joue, puis lui souffle calmement
"c'est terminé". Il ne bronche pas, il savait que ça finirait par arriver,
quand était la seule question à laquelle elle venait de répondre.
USA, DECEMBER 2014Au volant de sa voiture dans les rues de staten island, elle penche légèrement la tête à chaque nouvel immeuble pour en vérifier le numéro. Qu'est-ce qu'elle fait ici? Pourquoi est-elle rentrée? Pourquoi a-t-elle appelé son frère en voyant qu'il avait quitté son ancien appartement? Tant de questions auxquelles elle a si peur de répondre. Elle finit pourtant par arriver à destination et gare alors sa voiture. Partagée entre l'envie de repartir le plus loin possible et ce besoin de le voir, de savoir ce qu'il est devenu, elle reste dans sa voiture, le moteur éteint pendant un long moment. Le regard dans le vide, les mains sur le volants elle n'arrive pas à se décider à sortir. Il est peut-être mieux sans elle, au final c'est elle qui revient vers lui, pourquoi? une nouvelle question à laquelle elle ne veut pas répondre. Sans réellement y croire, elle finit part sortir de la voiture et pénètre l'immeuble.
Baldwin, troisième étage. Dans l'ascenseur son estomac se noue, et elle ne peut s'empêcher de regretter ce qu'elle est entrain de faire. Les portes s'ouvrent et machinalement elle pose un pied devant l'autre pour finir devant la porte de son appartement. Le souffle court, elle prend son courage à deux mains et toque. Les secondes qui suivent lui paraissent alors une éternité, puis la porte finit par s'ouvrir sur une jeune femme au charme atypique mais indéniable.
"je suis bien chez Elliot Baldwin?" elle jette un coup d'oeil discret derrière cette inconnue.
"oui, il est absent pour le moment, vous êtes?" sa gorge se noue alors qu'elle réalise qui cette jeune femme est, à un tel point qu'elle en perd presque ses mots
une vieille amie de passage dans le coin, je repasserai" Fuir. Maintenant. Alors qu'elle s'apprête à reculer pour faire demi-tour, l'inconnue la regarde en souriant
non, rentrez, il ne va pas tarder"Sans savoir pour quelles raisons Brunehilde entre derrière elle. Arrivée à l'intérieur elle découvre un intérieur distingué où elle retrouve un peu d'Elliot. La jeune femme lui raconte alors qu'ils sont ensemble depuis quelques temps maintenant, qu'il travaille toujours en temps qu'agent immobilier et qu'ils ont emménagé dans cet appartement il n'y a pas très longtemps. Et c'est alors qu'elle boit sa tasse de thé agréablement offerte par cette inconnue qu'elle n'arrive pourtant pas à apprécier, qu'elle comprend. Elliot est heureux, sans qu'elle ne soit là. Il a un bel appartement, avec une petite amie charmante, alors pourquoi voudrait-il d'elle de nouveau dans sa vie. Elle essaye tant bien que mal de se dépêtrer de la situation dans laquelle elle s'est mise pour pouvoir s'échapper le plus rapidement possible, quand elle entend le bruit d'une clé s'enfonçant dans la serrure. Son coeur se met alors à battre à un tel point qu'il pourrait sortir de sa poitrine, et elle essaye de trouver un moyen de pouvoir sortir d'ici sans qu'il ne la voit, sachant pertinemment qu'elle est coincée. Elle l'aperçoit alors rentré dans la pièce, et une décharge électrique remonte alors le long de sa colonne. Le souffle coupé, elle le regarde, se battant pour cacher son émotion.
"Bonjour Eli"elle marque un temps d'arrêt
j'étais de passage, et je voulais savoir ce que tu devenais, mais je repasserai une autre fois, je dois aller diner avec mes parents, maintenant je sais où tu habites.. Merci Jamie pour le thé, ce fut un plaisir. Elle ramasse ses affaires, se débattant pour ne pas laisser paraître qu'elle est paniquée, et quitte l'appartement après avoir sourit une dernière fois à Jamie. Elle venait de répondre à une des fameuses questions qu'elle voulait laisser sans réponse. Si elle était revenue, c'est qu'il lui manquait, terriblement.
pseudo hunk. □
âge 21. □
pays france. □
avis sur le forum je ne sais pas si c'est mon ordi qui bug mais toutes les images (ban, etiquettes ect) ne s'affichent pas, à part ça il est vraiment chouette
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célébrité stacy martin □
un dernier mot [/color]